Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Tableau 3 – Pourcentage de victoires en makuuchi
| Yokozuna | Pourcen- tage | V | D | Nul (∗) | Indécis (∗) | Kyujo (∗) | Sans résultat (∗) |
1. | Umegatani I | 95,1% | 116 | 6 | 18 | 2 | | |
2. | Tanikaze | 94,9% | 258 | 14 | 16 | 16 | | 6 |
3. | Jinmaku | 94,6% | 87 | 5 | 17 | 3 | | |
4. | Onogawa | 91,7% | 144 | 13 | 4 | 3 | | 1 |
5. | Inazuma | 90,9% | 130 | 13 | 14 | 3 | | |
5. | Hitachiyama | 90,9% | 150 | 15 | 22 | 2 | 131 | |
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un chiffre remarquablement concordant avec son pourcentage en carrière de 78,0% (432 victoires, 121 défaites et 5 kyujo en 43 basho). Ceci le place en troisième place pour ce qui concerne les pourcentages de victoires dans l'ère moderne, après Taiho (83,8%) et Futabayama (80,2%), mais bien loin de la liste des meilleurs de tous les temps. Le tableau 3 nous montre les six rikishi détenteurs des plus hauts pourcentages de victoires en makuuchi.
Tanikaze était en fait un ozeki qui se vit accorder une licence pour exécuter les cérémonials de « yokozuna », tel le dohyo-iri, par la Maison des Yoshida Tsukasa, puisque à l'époque, yokozuna n'était ni un rang ni même un titre. Bien que la Sumo Kyokai le reconnaisse comme le quatrième yokozuna, il mériterait en fait d'être reconnu comme le premier, car l'existence et la carrière dans le sumo des trois premiers n'a jamais été véritablement établie et documentée. Tanikaze et le 5ème yokozuna Onogawa Kisaburo (1758-1806) reçurent leurs licences de yokozuna lors du basho de septembre 1789, alors qu'il n'y a aucun compte-rendu de ce que les trois premiers aient reçu quoi que ce soit de la même Maison des Yoshida Tsukasa. Située dans la préfecture de Kumamoto, les Yoshida Tsukasa se sont établis au fil du temps comme fournisseurs officiels du sumo et leur influence et réseaux de
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des onze nouvelles recrues et des trois rikishi faisant leur retour dans le banzuke qui entrent dans les épreuves de maezumo afin de se voir déterminer leur rang pour le prochain basho.
Asashoryu affronte le nombre minimum de trois lutteurs, qu'il bat tous. Le troisième jour, il bat Matsuoka (qui n'est plus en activité) de la Nakadashi-beya. Le jour suivant, il se débarrasse de Tokukaizan (parti également) de l'Isenoumi-beya. Le cinquième jour, il gagne face à Tashiro (aujourd'hui Tooyama, connu pour son blog) de la Tamanoi-beya.
Au basho suivant, en mars 1999, Asashoryu apparaît pour la première fois sur le banzuke, classé jonokuchi 34e, et après s'être débarrassé de Tamatsumi sur un hatakikomi dans son premier combat en jonokuchi, il perd contre Tashiro lors de la 4ème journée sur un oshidashi. Il achève son basho sur un score de six victoires pour une défaite, mais manque le yusho. Asashoryu se voit alors promu en jonidan pour le basho suivant, et remporte alors les sept combats pour s'attribuer le
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jonidan yusho. En juillet 1999, il remporte à nouveau ses sept combats pour décrocher le sandanme yusho.
En makushita, Asashoryu effectue de bons débuts avec deux basho à 6-1, mais se heurte à un petit mur et concède son premier make-kochi lors du tournoi de janvier 2000, avec un 3-4. toutefois, trois basho plus tard, à Nagoya, Asashoryu est classé makushita 2o, de retour en forme ; Il remporte ses sept combats (lorsqu'il avait fait ses débuts sur le dohyo, il mesurait 182 cm et pesait 106 kg seulement. En atteignant la makushita, il était plus haut de 2 cm et pesait 14 kg de plus). Il peut alors tenir la promesse faite à son oyakata : pouvoir enfin retourner en Mongolie le mois prochain pour annoncer à ses compatriotes qu'il va devenir sekitori, rejoignant Kyokushuzan et Kyokutenho – d'ores et déjà des héros nationaux en Mongolie – dans les hautes divisions.
Le pourcentage de victoires d'Asashoryu en makuuchi est de 78,1% (359 victoires, 101 défaites, 5 kyujo en 31 basho après le basho de janvier 2006),
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