Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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relations dans l'ozumo perdurèrent jusqu'en 1950.
Entre octobre 1777 et février 1786, Tanikaze ne perdit qu'un seul combat, lors du basho de février 1782, face à Onogawa. Son record de 63 victoires consécutives tint un siècle et demi, jusqu'aux 69 victoires de Futabayama. Tanikaze enleva 23 basho ou score équivalent (plus grand nombre de points). C'est le deuxième plus grand total durant la période à deux basho par an, tout près de Raiden. Bien qu'il perdit progressivement sa puissance dans les dernières années, au moment de son décès consécutif à une mauvaise grippe, il était sur une série de 35 victoires consécutives. Il avait 44 ans au moment de sa mort, et était en activité depuis 26 ans.
Le 15ème yokozuna Umegatani I (1845-1928) est considéré comme ayant porté l'Ozumo vers des sommets de popularité durant l'ère Meiji. Au départ, il combattait dans les tournois d'Osaka mais finit par aller vers
Tsuna ayant appartenu au yokozuna Tanikaze, sous l'ère Edo (photo de Mark Buckton)
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les tournois de Tokyo bien plus compétitifs. (note : le 21ème yokozuna Wakashima Gonshiro détenait un pourcentage de victoires de 92,0%, mais il était un yokozuna des tournois d'Osaka uniquement et n'est donc pas inclus dans la liste précédemment établie). Umegatani I vécut jusqu'à l'âge de 83 ans, un fait plutôt rare pour un rikishi, encore plus pour un yokozuna.
Les efforts solitaires du 12ème yokozuna Jinmaku Kyugoro (1829-1903) aboutirent à l'actuelle liste des yokozuna gravée dans la Pierre des Yokozuna qui se trouve au sanctuaire de Tomioka Hachimangu, à Tokyo. Jinmaku traversa le Japon tout entier pour amasser des dons et, après neuf ans d'efforts, le mémorial fut finalement achevé, le 21 novembre 1900. La stèle de granit mesure 3,2 mètres et pèse vingt tonnes. Fait assez intéressant, on peut noter que Jinmaku fit ajouter le nom de l'ozeki Raiden sur la stèle, même s'il n'a jamais été précisément reconnu comme yokozuna, mais du temps de Jinmaku, l'incroyable puissance de Raiden était déjà légendaire. Raiden Tame-emon (1767-1825) était contemporain de Tanikaze et d'Onogawa, mais ne se vit pas attribuer une licence de yokozuna par la maison des Yoshida Tsukasa. Néanmoins, Jinmaku lista Raiden comme un « rikishi sans égal ».
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Jinmaku (photo de Barbara Ann Klein, publiée avec l'aimable autorisation du Musée Edo-Tokyo)
Enormément de fans de sumo considèrent encore Raiden comme le plus grand rikishi de tous les temps. De fait, Raiden était déjà considéré comme une énorme vedette quand il fit ses débuts sur le dohyo lors du basho de novembre 1790, comme sekiwake. Il remporta huit combats sans concéder de défaite (deux « indécis » puisqu'il n'existait pas de kettei-sen à l'époque). Un tel résultat s'apparente à un makuuchi yusho de nos jours. Raiden ne perdit jamais plus de deux combats dans un seul basho. L'unique rikishi auquel il concéda deux défaites fut Kazochan, connu aussi sous le nom de Ichinoji Asaemon. En 35 basho de makuuchi, Raiden remporta 254 combats, en
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