Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
|
|
Kimarite focus : Shitatenage, shitatedashinage et shitatehineri
par Mikko Mattila
|
|
|
|
est également clair que tous les actuels jo-jin qui pratiquent le yotsu-zumo privilégient une prise extérieure quand ils cherchent à effectuer une projection. La prise en shitate de l'adversaire se voit généralement annihilée par la puissance de la prise extérieure des Kotooshu, Kaio ou consorts. D'un autre côté, les rikishi qui favorisent les prises intérieures de mawashi se servent en général de cet avantage pour placer d'autres techniques que le shitatenage. Un autre aspect notable du shitatenage est que ses spécialistes sont en général des rikishi techniques et relativement de petite taille, ce qui souligne bien la nature technique du shitatenage par opposition à l'uwatenage, qui
Next
|
|
|
Le shitatenage est littéralement une projection intérieure, en référence à la position de la prise obtenue par l'attaquant sur le bras du défenseur. A partir d'une prise de mawashi, l'attaquant pivote et projette son adversaire à terre ou hors du dohyo. C'est la deuxième technique de projection la plus communément employée en sumo, même si les occurrences de sukuinage sont presque aussi nombreuses. Depuis 1990, le shitatenage a été la technique retenue dans 755 combats de makuuchi (l'uwatenage se chiffrant à 1829 combats), ce qui représente 2,7% des combats de cette division. Dans les dernières années, le nombre de shitatenage est plutôt stable et ne fluctue que dans de petites proportions. Depuis 2001, les différences de fréquence d'emploi sont même quasi nulles. Il y a eu entre 2001 et 2005, des chiffres annuels de 39, puis 32, 37, 35 et 39 shitatenage.
Quelques interrogations intéressantes émergent quand on aborde le sujet des prises de mawashi et des projections en
|
|
|
|
sumo. L'uwatenage et le shitatenage sont quelque part intimement liés, et il n'est pas rare qu'un combat se transforme en une lutte entre prise intérieure et prise extérieure de mawashi. En général, le rikishi qui tient la prise extérieure a l'avantage. La puissance exercée comme la liberté d'action musculaires sont déterminants, et dans bien des cas, une prise intérieure est nettement affaiblie par la pression exercée par le bras extérieur, perdant ainsi puissance et mobilité. Il
|
|