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Todd’s bimonthly focus on 3 of the WWW's best sumo sites today
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variées, je ne me souviens même plus de quoi se composait le chanko. Ici, les sekitori se voient également servir leurs œufs ou poissons personnels, et tout ce qui peut se trouver sur la table. Les boissons sont servies de la même façon, de l'eau, du thé ou des jus de fruits, mais jamais une boisson alcoolisée. Tout comme dans l'autre heya, on trouve toujours des rikishi de rang inférieur attentifs à nos moindre besoins – s'assurer que nos bols de riz n'étaient jamais vides, nos verres de thé toujours plein, etc.
Ce sera la norme, pour la majeure partie, de nos futurs déjeuners avec des rikishi – toujours des plats spéciaux pour les sekitori, toujours cette grande attention vis à vis de nous, les 'invités' de la table. Il me faut ajouter ici que, sauf très grande insistance, nous déclinons en général l'invitation à être resservis et quittons en général la table dès notre repas achevé afin que les non-sekitori puissent manger avant de tomber morts de faim !
Mais après les quelques premières fois nous devenons curieux à propos du chanko lui-même. Parfois, on aurait du éviter de poser la question – juste mettre la nourriture dans la bouche et l'avaler. Dans la même heya où nous avons mangé du veau et des pâtes, nous avons demandé au sekitori ce qu'il y avait dans le chanko du jour. « Entrailles de
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poissooon! » nous lance-t-il. Ma gorge se serre quelque peu et, une fois servie, j'entreprends de repartir ma nourriture sur le bol, pour donner l'impression que je suis en train de manger quelque chose. Un autre sekitori à la tablée me demande si je veux encore du « poissooon ». Lui-même préfère, déclare-t-il d'une vois de stentor « la viaaande ! ». Ce jour-là, je mange plus des accompagnements que je ne l'ai jamais fait. Maintenant que je sais que les yeux de poisson sont considérés (et à priori son, pour autant que je sache) comme très nutritifs et contenant beaucoup de protéines, je suis beaucoup plus circonspecte sur le fait de manger du chanko au poisson. Mais bon, dans une autre heya, on m'a dit que nous étions en train de manger les boyaux d'un animal. Ce coup-ci, même le sekitori a fait la tête.
Une autre heya encore avait quelque chose d'indéfinissable dans son chanko – mais ici encore, les accompagnements sont délicieux, y compris l'un d'entre eux à l'ail mariné (on continuera à s'en souvenir quelques jours, mais il nous permettra de gagner quelques sièges masu au Kokugikan !). C'est aussi dans cette heya que je me vois offrir du sake – ce que je ne refuse pas, au moins la première fois. Le lutteur le mieux classé dans cette heya a, lui aussi, ses plats spéciaux – il semble qu'ils aiment tous les
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œufs au plat – mais un jour bien spécial, il a également droit à un verre de champagne en raison d'une performance particulière qu'il a effectuée au basho précédent. En fait, l'un de nous trois a apporté le pétillant et lui a offert pendant notre repas. Il la fait rapidement déboucher et demande à un tsukebito de lui apporter un bol. Oui, un bol. Il se verse une large rasade qu'il boit prestement. Juste au moment où il s'apprête à verser ce qui semble être le reste de la bouteille dans le bol, il se rappelle que nous pourrions peut-être le partager avec lui. Ce que nous faisons finalement.
Dans une des heya, on nous demande si nous aimons les saucisses. De fait, elles sont présentes dans le chanko.
Nous avons mangé plusieurs fois dans quatre ou cinq différentes heya, et nous n'avons
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