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eu que rarement le même menu ne serait-ce qu'une fois. Ce qui est sûr, c'est que nous n'avons jamais mangé la même chose dans deux heya. En fait, même au sein d'une unique heya, les plats ont été différents à chaque fois. Selon que nous mangions à Tokyo ou à Osaka, le nombre d'invités, la variété des menues, le nombre de rikishi présents, ont été très différents.
A Tokyo, on ne trouve que rarement d'autres convives en compagnie de notre petit groupe de deux ou trois. En revanche, à Osaka, nous avons trouvé des tables remplies d'invités. A ces occasions, les repas ont été bien plus simples – juste un simple chanko, et un ou deux plats d'accompagnement, bien que dans une heya, l'accompagnement ait été du bœuf merveilleusement cuisiné. En tout état de cause, les jeunes lutteurs de rang inférieurs ont toujours été présents pour prendre soin des invités et ne pouvaient prendre part au repas qu'une fois que tout le monde en avait fini.
L'un des oyakata, lors d'un basho en dehors de Tokyo, nous a invité à l'étage pour converser. Comme nous étions assis devant quelques verres de thé, un magnifique service à chanko fut amené. Les ingrédients pour
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un extraordinaire chanko nabe furent placés sur la table, et l'oyakata entrepris de placer chacun des ingrédients, qui donnait l'eau à la bouche, dans la marmite. Nous salivions par anticipation sur ce repas à venir. Après un moment, un tsukebito vint et nous demanda de le suivre en bas – ou le chanko collectif était servi. Bon, j'imagine qu'il n'y en aurait pas vraiment eu assez pour nous quatre en haut. Mais ce fut un retour à la réalité. Bon, pour ne pas donner une mauvaise impression de lui, cet oyakata est l'un des plus gentils, attentionnés, généreux et sociable qu'il m'ait été donné de rencontrer. Et je suis certaine que s'il avait été prévenu de notre arrivée… et bien, PEUT-ÊTRE aurions nous mangé à sa table. Là où je veux en venir, en fait, c'est que les oyakata aussi mangent du chanko.
Il y a une hiérarchie dans les repas – les plus haut gradés en premier, et l'on descend comme cela jusqu'en bas de la pyramide. Un malheur n'arrivant jamais seul, les derniers sont en général également ceux qui doivent se lever le plus tôt le matin. Les moins gradés sont également en charge de la cuisine. Cela profite cependant à pas mal d'entre
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eux, si l'on en juge d'après le nombre d'anciens rikishi qui sont dans le business des restaurants chanko !
Tout autour de Ryogoku, la Mecque du sumo, on peut trouver des restaurants portant, écrit à la main, en déliés ou en calligraphie élaborée, ou même en tubes de néon, le hiranaga pour le chanko – . Quelques cantines de Ryogoku dont la spécialité n'est pas le chanko en ont quand même sur leur menu de toute manière. Il y a un super chanko-ya qui s'appelle « Tanaka », anciennement « Daishoho », à Asagaya, tenu par M. et Mme Tanaka, bien connus dans le monde du sumo amateur. « Chez Taikai », dans le quartier Omotesando, sert un superbe, même si un peu cher, chanko nabe. C'est l'un des anciens tsukebito qui est le chef ici. En général, les restaurants préparent le chanko avec des boulettes faites main de poisson, viande ou poulet, plutôt que les cubes ou morceaux entiers de viande que l'on peut trouver dans le chanko des heya. Mais où que vous alliez pour manger un chanko durant un honbasho, assurez-vous de réserver d'abord.
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