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Lon gives us his Haru Basho summary, along with the henka sightings results
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Mark Buckton glances back to look forward in his ones to look out for come May
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Our gaming thread takes a break for April so we can look at the Spanish language book on the sport not long since released
Todd’s bimonthly focus on 3 of the WWW's best sumo sites today
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made you a sumo fan? Thierry Perran lets us in on his reasons for loving this sport
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discutent du bien-fondé d'une promotion au rang de yokozuna, quand un candidat méritant survient, et si le rikishi en question est jugé comme remplissant tous les critères tels que les performances, l'attitude personnelle et l'aura. Si l'on considère qu'il fait l'affaire, le YDC recommande alors sa promotion auprès des membres de la Rijikai (conseil d'administration de la Kyokai). En parallèle, les membres du YDC discutent également des performances des yokozuna en place après chaque tournoi et délivrent les commentaires idoines au président de la Kyokai, charge à ce dernier de les retransmettre au yokozuna et à son oyakata.
Les membres du YDC sont en fait nommés par la NSK et sont connus pour leur implication dans le monde des arts ou des affaires. Leur nombre ne peut excéder quinze personnes. En ce qui concerne le rang de yokozuna, il n'a commencé à faire son apparition qu'avec le 16ème yokozuna Nishinoumi Kajigoro, en 1890. D'un point de vue technique, en ce qui concerne le classement du banzuke, avant Nishinoumi, tous les rikishi de haut niveau du sport étaient considérés comme des ozeki et combattaient comme tels. Le titre de yokozuna n'était rien de plus que l'indication
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d'une permission accordée d'accomplir la cérémonie du yokozuna dohyo-iri.
Le premier rikishi à avoir été officiellement promu au rang de yokozuna par la NSK fut le 41ème yokozuna Chiyonoyama Masanobu en 1951.
Avant cette date, l'institution qui de facto délivrait les licences dans le sumo, la Maison des Yoshida Tsukasa, entérinait chaque promotion de yokozuna. La Maison des Yoshida Tsukasa délivra les diplômes de yokozuna à 37 lutteurs, à l'exception donc des trois premiers. Akashi, Ayagawa et Maruyama, ainsi que certains yokozuna du sumo d'Osaka reçurent leurs licences de la Maison de Gojo, ce qui provoqua d'âpres joutes entre les deux camps rivaux. Les yokozuna nommés par Osaka furent le 7ème yokozuna Inazuma, le 12ème yokozuna Jinmaku, le 14ème yokozuna Sakaigawa et le 15ème yokozuna Umegatani, qui reçurent leurs diplômes simultanément de Tokyo et d'Osaka. Le 23ème yokozuna Ookido reçut son titre de la Kyokai d'Osaka de manière totalement indépendante.
Lorsque la Maison des Yoshida Tsukasa finit par se rapprocher et se réconcilier de la Kyokai d'Osaka, et que les diplômes de
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yokozuna finirent par être approuvés conjointement par les deux organismes peu après, la Maison de Gojo disparut rapidement du paysage de l'ozumo, et l'on n'en entendit plus jamais parler. Chose intéressante, à peu près à cette époque, la Maison des Yoshida Tsukasa remit à jour les documents en sa possession sur les yokozuna alors connus et enregistra Ayagawa et Maruyama comme yokozuna, bien que, pour ce qui concerne Ayagawa, les dates soient toujours sujettes à caution. On peut donc considérer Maruyama de la même manière que ceux des yokozuna dont les diplômes furent reconnus par les Yoshida soit après qu'ils se sont retirés du sport, ou bien à titre posthume.
Les membres de la famille des Yoshida Tsukasa ont fait à l'origine leur entrée dans le monde du sumo comme gyoji, après avoir hérité du titre et de la charge de Shigano Seirin – l'homme généralement considéré comme celui ayant défini le premier les 48 techniques (originelles) du sumo et comme le fondateur de la profession de gyoji. Le statut de gyoji est depuis bien longtemps passé de la Maison des Yoshida aux familles Kimura et
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