Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Appendice :
Nul (Wake) – Résultat proclamé quand, après un certain laps de temps, on n'était pas capable de déterminer un vainqueur et un perdant (par exemple, les deux rikishi finissaient par demeurer figés au centre du dohyo en position de yotsu). Il existait également une forme particulière de Nul, appelée Itami-wake, dans laquelle le combat était stoppé en raison d'une blessure de l'un des lutteurs. Ces règles ne sont plus employées mais demeurent répertoriées dans le livre des règles du sumo.
Indécis (Azukari) – Ceci arrivait quand un mono-ii avait été convoqué sur un combat au cordeau, mais que les juges ne
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pouvaient se décider sur un vainqueur. Cette décision existait dans le livre des règles jusqu'à l'ère Taisho (milieu des années 1920), mais amène de nos jours un re-match (tori-naoshi).
Sans résultat (Mushobu) – Cette règle fut abolie vers la fin de l'ère Edo (années 1870). Le combat s'était terminé de façon si indécise que le gyoji ne pouvait ou ne voulait pas lever son gunbai pour désigner le vainqueur.
Kyujo (Yasumi) – Différence avec l'actuelle règle du kyujo du à une blessure, avant l'ère Showa (années 1930), il n'existait pas de fusensho / fusenpai (victoire / défaite par défaut), et par conséquent si
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l'adversaire déclarait un kyujo, le rikishi qui montait sur le dohyo était lui aussi considéré kyujo. De même, avant la construction d'enceintes couvertes, comme le Kokugikan, les tournois se déroulaient à l'extérieur. Quand le temps contrariait le déroulement d'un tournoi, obligeant à annuler la journée de combats, tous les rikishi étaient considérés comme kyujo. Enfin, durant l'ère Edo, un rikishi pouvait être absent et manquer un combat pour bien d'autres raisons que des blessures (comme ils dépendaient de maîtres régionaux, les Daimyo). Ils se voyaient alors attribuer un kyujo de manière automatique.
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