Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Oyama oyakata et l'okamisan. Cette photo a été prise en 1958, et on peut apercevoir à l'arrière plan un des premiers postes de télévision disponible au Japon, recouvert d'un drap noir. (Photo de Kudo Shashin-kan)
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enroulements de jambes dont il est coutumier et de sa façon d'enserrer son adversaire pour le faire chuter. En fait, Shinkai est alors l'un des rikishi les plus craints dans la division makuuchi, pour ses sotogake qui aboutissent souvent à une blessure pour son adversaire. Preuve en est ce jour funeste, Shinkai exécutant son crochetage extérieur, et les deux rikishi finissant par débouler hors du dohyo. Takanobori, incapable d'amortir la chute, est sérieusement touché au genou droit. Il manque les trois journées suivantes, mais réussit à revenir pour ses deux derniers combats. Toutefois, sa blessure est extrêmement grave et bien qu'il s'acharne au tournoi suivant, il doit manquer tout le basho de mai 1936. A partir de ce moment, Takanobori ne finira qu'une seule fois encore kachi-kochi. Contraint d'adopter une sumo défensif pour protéger son genou, il rend quatre 6-7 de rang après mai 1937, glissant dans le banzuke jusqu'au rang de maegashira 17. Sa fin intervient au début d'une nouvelle ère pour le sumo, les honbasho se voyant rallongés aux quinze jours que nous connaissons aujourd'hui. Takanobori ne peut remporter que trois victoires et, fatalement, annonce son retrait de la compétition à la fin du basho.
L'an 14 de l'ère Showa (1939)
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le voient afficher des scores de 7-4 et 8-3 consécutivement, lui permettant d'atteindre la sanyaku à l'issue de son 18ème basho seulement.
Cette ascension météorique coïncide avec le tremblement de terre dans le monde du sumo qu'est l'incident du Shunjuen, qui se produit au cours de son second tournoi de makuuchi. Bien que Minanogawa, de la Takasago, rejoint les rebelles, Takanobori juge qu'il est plus dans son intérêt de demeurer au sein de la Kyokai. Ses débuts en tant que komusubi dans le basho tronqué de février 1932 s'achèvent sur un décevant 3-5, mais sa période dorée commence juste après, et dans les douze mois entre mai 1932 et mai 1933, Takanobori réussit quatre scores positifs d'affilée ; 8-3, 9-2, 7-4 et 9-2. Dans le
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deuxième de ces quatre basho, il réussit le meilleur score de la division, mais ex aequo avec l'ozeki Shimizugawa ; or, à cette époque, le yusho est attribué dans ce cas en fonction de la position dans le banzuke, et non à la suite d'un kettei-sen. Il est tout de même promu sekiwake, et se trouve sur le point de devenir ozeki en mai quand, tristement, il est frappé par un violent ulcère à l'estomac qui le contraint à être hospitalisé, le contraignant à manquer intégralement le basho de janvier.
Trois tournois après son retour, Takanobori a pu revenir au rang de sekiwake quand, au septième jour du basho de mai 1935, il affronte son homologue sekiwake Shinkai, un natif d'Akita connu sous le nom de « la Pieuvre », en raison des
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