Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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crois pas. Dans une certaine mesure cette idée de résistance aux changements est ce qui donne au sumo son caractère unique, toutefois, de petits changements sont nécessaires pour assurer la pérennité de la popularité du sumo au Japon.
L'un de ces changements consiste en un changement des lieux où se tiennent les honbasho au Japon. Ces dernières années, la fréquentation a baissé en particulier aux basho de Fukuoka et Nagoya et, dans une certaine mesure, à Osaka et aux basho de Tokyo également. Des images d'arènes à moitié vides, une mer de sièges masu désertés ne sont pas de bon augure pour le sumo. Fukuoka et Nagoya en particulier enregistrent les déclins les plus dramatiques en terme de fréquentation.
Les lieux qui mériteraient d'accueillir un honbasho pourraient être Kyoto et Sapporo, peut-être même Sendai qui compte une population de plus d'un million d'habitants. Les deux premières villes citées possèdent des atouts comme le fait d'avoir un climat plus favorable pour un basho d'été, entre autre points positifs. Les villes du nord du Japon comme Hokkaido et Aomori produisent traditionnellement beaucoup de rikishi. Des yokozuna tels Taiho, Chiyonofuji et Hokutoumi, ainsi qu'une
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proportion incroyable de rikishi actuellement en activité, viennent du nord du Japon. On peut largement supposer que le sumo possède de fortes traditions rurales au nord, et ces endroits pourraient faire de belles choses si on leur en laissait l'occasion d'accueillir un honbasho. Ils pourraient montrer qu'ils sont à même d'organiser un basho avec beaucoup de public et de ferveur populaire.
Il faut reconnaître que tout changement dans la localisation d'un honbasho serait source de complications, tout particulièrement en terme d'organisation comme le fait de trouver des lieux pour abriter des QG temporaires de heya et l'établissement des relations nécessaires pour gérer les services autour du honbasho. Cela pourrait avoir aussi un effet bénéfique, en permettant de renforcer et d'étendre les réseaux à travers tout le Japon plutôt que seulement dans ses grands centres urbains. Les lieux actuels des honbasho, particulièrement Nagoya et Fukuoka, seraient blessés de perdre leur basho annuel et se battraient bec et ongle pour le conserver, étant donné la perte substantielle de revenus que cela signifierait pour les organismes impliqués dans l'organisation de ces basho. Cela dit, les municipalités de Nagoya et Fukuoka et les groupes associés à la NSK sont en partie fautifs de ne pas en faire assez
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pour la promotion de leur basho et de pas bien travailler conjointement avec la NSK pour remplir les sièges. Ils ont apparemment été aussi inactifs que peut l'être la NSK, qu'ont-ils donc fait pour essayer d'empêcher les fans de déserter les stades ? Les menacer de ne plus avoir de basho tous les ans pourrait les inciter à passer à l'action, de faire d'énergiques campagnes de pub, plutôt que de « laisser filer ». Le statu quo n'est tout simplement plus suffisant.
Howard Gilbert : J'aimerais remercier Sumo Fan Magazine de m'avoir inviter à apporter ma contribution à ce débat. Merci à Lon d'organiser et chapeauter cette discussion, et je suis particulièrement content d'être opposé à un compatriote, Dean en l'occurrence.
Je dois commencer en disant que je ne suis pas opposé au changement dans l'ozumo. De fait, je me félicite des évolutions du sport et j'espère que certains domaines qui ont besoin de changement ne se verront pas bloquer par le poids de la « tradition », qui est bien trop souvent un masque pour une certaine réticence à s'écarter du statu quo. Toutefois, la localisation des honbasho est un de ces sujets pour lesquels le statu quo n'est pas problématique. Je ne crois pas que changer de villes pour un
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