Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Pour revenir au présent et à l'avenir, Roho, lors de l'Hatsu basho, score un impressionnant 9-6 qui comprend des victoires sur le nouvel ozeki Kotooshu, Kotomitsuki et Kaio, lui donnant une très bonne chance de faire son entrée en sanyaku lors de l'Haru. Malheureusement, Hakurozan, classé deux rangs plus bas comme M4e, n'est lui pas encore prêt à véritablement relever le défi, se faisant atomiser par les joi-jin pour finir sur un 4-11. On peut imaginer toutefois qu'il saura en tirer les enseignements, et que contempler les succès de son grand frère allumera une petite étincelle de rivalité fraternelle, l'amenant à défier son frère plus tard cette année.
Georgia on My Mind
La nouvelle paire de frères étrangers rikishi, d'une certaine manière, suit la même voie que ces deux derniers. Le solide rikishi de maegashira Kokkai fait ses débuts tout juste un an avant Roho au sein de l'Oitekaze-beya de l'ancien maegashira Daishoyama ; son jeune frère, Tsukasaumi, fait son maezumo lors du dernier Aki basho au sein de l'Irumagawa-beya et fait de solides débuts avec une fiche de 5-2 en tant que jonokuchi 35o
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lors du Kyushu basho. Ce score le propulse en jonidan 110e lors de l'Hatsu, qu'il finit sur un impressionnant 7-0, ne perdant le yusho qu'en kettei-sen, mais se plaçant idéalement pour une belle promotion en mars prochain.
Le Géorgien Levan Tsaguria explose dans le banzuke dès ses débuts, remportant des yusho en jonidan, sandanme, makushita et juryo, avant de faire son entrée en makuuchi en janvier 2004, moins de trois ans après ses débuts. Ce qui entraîne des spéculations assez similaires à celles concernant Roho et, à l'instar de Roho, Kokkai croit peut-être également trop les louanges qui lui sont adressées et se heurte à ses limites comme M1. Toutefois, avec une kinboshi et un kanto-sho en poche, combinés à un solide 8-7 lors de l'Hatsu incluant des victoires sur Asashoryu, Kaio et Kotooshu, Kokkai ne paraît pas encore au top de ce qu'il peut faire. Et peut-être son exemple inspirera-t-il son jeune frère de 18 ans Georgi à travailler dur pour le rejoindre dans la division reine. Georgi est plus un technicien de yotsu-zumo avec prise de mawashi, ce qui pourrait valoir un contraste de style intéressant avec son aîné, adepte de tsuki-oshi dans le
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plus pur style de l'école Musashigawa.
Si l'on considère ce qui vient d'être écrit, on peut noter avec surprise que pas moins de six paires de frères sont représentées dans les rangs des sekitori. Bien plus, sur ces douze, dix sont parvenus dans les rangs sekitori, et neuf y combattent actuellement. C'est un nombre peut-être sans précédent, au moins pour ce qui concerne les rangs salariés. Il semble qu'il y ait un sentiment de plus en plus présent que le talent est de famille, ou à tout le moins, de plus en plus de preuves pour appuyer cette conviction. Et le fait que la moitié des lutteurs précédemment abordés soient étrangers n'est pas sans signification non plus, et n'est certainement pas passé inaperçu auprès des aspirants rikishi étrangers. Si jamais la Kyokai devait assouplir sa règle de l'étranger unique par heya, attendez vous à ce que bien d'autres paires de frères étrangers se précipitent pour rejoindre leurs homologues nippons. Peut-être que le talent est vraiment de famille.
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