Brothers still active on the dohyo get their turn
SFM’s most eminent historian, JK, has a crack at the impossible and tries to see who was the greatest of the tsuna wearers
Takanobori – former sekiwake, former NHK man and all ’round gent
Kitanoumi-beya, Kitazakura, mirrors & photo bonanza
Kazuyoshi Yoshikawa (son of the late sekiwake Takanobori) on life in sumo way back when
Behind every good man there stands a good woman – read and ye shall see. A departure from our regular 101 feature
plus much more through the lens of our photographers
Lon gives us his Hatsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers lower division goings on in detail
Pierre predicts the Haru Basho banzuke while Mark highlights the ones to look out for in Osaka
Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
John’s unique bimonthly view of sumo news from outside the dohyo and in the restaurants!
SFM’s own Alexander Nitschke covers the long running Hoshitori Game
Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
a pair of Kiwis exchanging opinions on the honbasho going on the road
SFM Cartoons
Benny Loh & Stephen Thompson
In the third of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy BL’s offerings and put a caption to ST’s pic to win yourselves a banzuke
made you a sumo fan? A unique perspective from a sightless reader.
readers had to say since our last issue
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Nagoya basho 1997 juste six mois plus tard.
Depuis cette date, le plus jeune des deux, Aminishiki, a voit sa carrière bien plus couronnée de succès, passant le plus clair de son temps en makuuchi. Bien qu'étant un technicien plutôt doué dans le droit fil d'un Mainoumi (quoiqu'en version XL, puisqu'il mesure 1,84 m), il
Aminishiki et Asofuji se concertent sur la stratégie du jour (Photo de Barbara Ann Klein)
ne parvient cependant pas la plupart du temps à engranger suffisamment de victoires pour être éligible pour un gino-sho (prix de la technique qu'il n'a remporté que deux fois jusqu'ici) et n'est jamais arrivé à intégrer les rangs des sanyaku. Toutefois, ses trois kinboshi (étoiles d'or accordées aux maegashira qui remportent une victoire sur un yokozuna) et une belle palette de techniques en font une menace pour n'importe quel rikishi, en dépit de son irrégularité. Une irrégularité qui est d'ailleurs parvenue à son paroxysme en 2005, le menant au rang de maegashira 16 puis 17, 11, 9, puis 5, et finalement 6 pour le Kyushu, où un 7-8 le fait
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encore perdre un rang pour l'Hatsu. Un solide 9-6 devrait lui faire grimper de quelques rangs lors de l'Haru, libre à chacun de tenter alors de deviner quel pourra bien être alors son résultat.
D'un autre côté, cela fait plaisir de voir qu'après quelques temps passés en makushita, son frère aîné Asofuji semble déterminé à, sinon rattraper son frère, à tout le moins redevenir sekitori en même temps que lui. Asofuji possède une bonne palette technique, mais en raison peut-être de mensurations plus petites que son cadet – ou d'un manque de fighting spirit – il n'a jusqu'ici pas été capable d'en tirer le meilleur profit comme son frère. L'an dernier, après une entrée éphémère en juryo au cours du basho de septembre 2003, puis une autre l'année suivante, il y fait son retour en janvier et (un peu à la manière de son frère chez les maegashira) passe l'année entière à faire l'ascenseur dans le banzuke, finissant l'année sur un 9-6 comme juryo 10o lors du Kyushu. Ce score le propulse en juryo 5o lors de l'Hatsu, où sa fiche à 8-7 lui donnera pour l'Haru l'opportunité de dépasser son plus haut rang en carrière (j3o en mars dernier).
Les frères Tama
Les frères Okabe, de Fukushima, sont issus d'un lignage sportif célèbre, mais pas pour le sumo. Leur père fut un boxeur welter réputé et au palmarès conséquent, surnommé « la tortue Okabe ». Ses enfants, toutefois,
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choisissent de suivre la voie de leur oncle maternel (l'ancien ozeki Kiyokuni) et intègrent donc le sumo, en commençant dès l'école primaire. Plutôt que de rejoindre une heya dès la sortie du collège, ils poursuivent tous deux leurs études au lycée puis à l'université, finissant par entrer à la Tokyo University. A l'obtention de son diplôme, le grand frère Mitsukuni est repéré par l'ancien sekiwake Tamanofuji, de la Kataonami- beya, qu'il intègre comme makushita tsukedashi lors de l'Haru basho 1998. Son jeune frère Arata décide alors de le rejoindre, quittant ses études plus tôt et entrant au sein de la Kataonami avec le même statut lors du même basho. Ils deviennent Tamanokuni et Tamanonada respectivement, bien qu'ils changent leur shikona plus tard, en Tamamitsukuni et Tamanoshima.
Bien qu'ils aient été ensemble en juryo quelques temps de la mi-2000 au début de 2001, Tamanoshima connaît un succès bien plus conséquent, s'installant en makuuchi début 2001 et y demeurant, tandis que Tamamitsukuni passe le plus clair de sa carrière en makushita. En dépit de quelques coups d'éclat – comme un 11-4 comme M10 lors de l'Haru 2001 et un 12-3 comme M7 quatre mois plus tard à Nagoya – Tamanoshima devient en gros un habitué du haut des maegashira, se servant de sa taille et de sa puissance pour s'affirmer comme une menace
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