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diagonale et recouvrir à peu près la moitié de l'aire d'entraînement. Bientôt, un certain nombre de rikishi, minarai comme sekitori, font leur entrée. Tous les garçons de la Takasago-beya sont là, mais aussi des rikishi de la Hakkaku – certains d'entre eux revêtus de tabliers blancs (en fait ils ont l'air de sortir du restaurant avec leurs serviettes encore coincées dans leurs mawashi) et quelques-uns portent une serviette sur leur mawashi d'entraînement. C'est alors que Minanosato, ganté de blanc, vient apporter trois bandes de tissu de coton blanc brillant. Les rikishi, après avoir enfilé leurs propres gants, se saisissent des bouts de ces bandes de tissu et les attachent au teppo recouvert de tissu, laissant le coton reposer sur la toile. Ce qui suit alors est un exercice de dextérité, de discipline et un travail particulièrement intense, le groupe commençant à tordre et tresser le tissu pour donner ce que vous voyez porter le yokozuna durant son dohyo-iri.
Tiens, une petite histoire – la tsuna rappelle les cordes sacrées, appelées shimenawa, qui sont disposées pour indiquer la présence d'un lieu sacré shinto. Elles sont pratiquement toujours pendues horizontalement, et on les trouve dans les sanctuaires, autour d'arbres sacrés sensés renfermer des « kami »
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(divinités) ou pendant des torii – les portes qui ouvrent sur un lieu sacré et que l'on trouve aux abords des sanctuaires. Constituant un signe, elles sont généralement faites de paille. Au cours de l'ère Edo, la tsuna vint à être employée par les rikishi de plus haut rang au cours des rituels effectués dans les sanctuaires shinto – les dohyo-iri. En fait, yoko-zuna signifie corde horizontale, ou amarre. On dit que le porteur de la tsuna est considéré par les dieux comme un homme d'esprit, d'un grand sens moral et doté d'un cœur pur.
De retour à la fabrication – le tissu de la tsuna (apparu après les premières cordes uniquement en paille) était de lin ou en chanvre, mais semble
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être désormais un coton finement tissé. Chaque bande mesure environ 4,60 mètres et se trouve renforcée à chaque extrémité par un fil épais de couleur blanche. Il semble d'ailleurs que cela ne soit plus du cuivre qui est utilisé, comme cela se faisait dans le passé. Après qu'une portion de tissu soit enroulée autour du teppo, les rikishi de rang inférieur se voient confier la tâche de garder une extrémité parfaitement tendue, tandis que les autres rikishi sont aidés et encouragés par l'oyakata de la Takasago et Jinmaku de la Hakkaku.
La partie la plus épaisse est tressée en premier et rembourrée de coton
Suite
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