

As Nagoya nears, EB gets a head start on the pack by focussing on points of interest, past and present surrounding sumo's hottest basho
The 42nd yokozuna Kagamisato falls under the JK microscope
Kokonoe-beya and the Chiyo Boys
SFM's Ed-in-Chief interviews Estonian up and comer Baruto
SFM's Editor looks at all the twists and turns involved in the tsunauchi-shiki and adds a photo bonanza to boot
Basho and Kokonoe-beya photo bonanzas
Lon gives us his Natsu Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila lets you know what is going on down below the curtain
MB's mixed bag of things to look out for in Nagoya
Our man Mikko takes us on a tour of several defensive oriented kimarite
The first of our regular column pieces on the amateur sumo scene from a man who knows more than most
For a look at his very own: PTYW (Pick The Yusho Winners)
SFM's Editor reviews the newly published biography of Akebono, Gaijin Yokozuna – but sees it as more than just a biography
Check out Todd's bimonthly focus on 3 of the WWW's best sumo sites around
Sumo author Mina Hall and long long time fan Jim Bitgood discuss how to make sumo more entertaining – if such a concept is even necessary
Sit back and enjoy the offerings of sumo's premier artists
made you a sumo fan? James Vath in rural Japan lets us in on his gateway to the sport
See what our readers had to say since we last went out
Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.
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Et maintenant � vous ! Comment �tes vous devenu un fan de sumo ?
par James Vath
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d�ception amus�e en voyant un truc-sato (Wakanosato) perdre tandis que Kaio l'emporte (le pr�nom de sa colocataire est Kayo). Je suivrai la fin du tournoi, pour voir Kaio finir � 9-6, tandis que le M6 Wakanosato aura un score de 6-9 � l'Aki 1999. Et, malheureusement, mon int�r�t dans le sumo s'av�rera plus durable que celui de Mlle Sato envers moi.
Le fait que je n'aie pas r�ussi � d�velopper un v�ritable int�r�t pour le sumo aux Etats-Unis ou m�me durant l'ann�e et demi que j'ai pass� au Japon en 1990- 1992 au sein de la Navy est, sans aucun doute, du au manque d'occasion de voir ce sport. Je suis toujours �pat� par le nombre de fans de sumo dans le monde et par la diversit� des pays dans lesquels ils r�sident. Je suis � peu pr�s certain que si je ne vivais pas au Japon, je ne serais pas devenu un fan. Et dans un avenir proche si je rentre aux Etats-Unis mon int�r�t pour le sport devrait sans doute d�cro�tre. Pouvoir regarder le sumo � la t�l�vision chaque jour de basho durant trois heures, pouvoir assister � au moins un basho par an en personne pendant quelques journ�es, disposer de magazines de sumo, d'articles dans les journaux, etc� ce sont de superbes avantages � vivre ici. L'atmosph�re d'un basho, les
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A chaque num�ro de SFM, nous demandons � l'un d'entre vous de nous parler de lui et du sumo. Vous pensez avoir quelque chose qui int�resse nos lecteurs ? Ecrivez nous dans notre section courrier ! Bonne lecture.
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Je n'avais vu du sumo que quelques fois avant d'arriver au Japon en janvier 2001. C'�tait �galement toujours par surprise, � des moments et dans des lieux compl�tement al�atoires. Je me trouvais avachi devant la t�l�vision quelque part, et quelqu'un changeait de cha�ne et « Oh, attends, laisses �a, �a a l'air sympa ». Quelques souvenirs me reviennent.
Au bar des sports qui se situe dans la rue en face de l'universit�, en train de regarder le sumo sur la t�l� pos�e au dessus de la table de billard. Ne me demandez pas pourquoi les gens ont besoin d'avoir un �cran au-dessus de la table de billard. Je n'en sais rien. Je ne connais rien du sumo � cette �poque, tout comme mes amis, mais nous regardons tous ; en partie � cause du caract�re nouveau de la chose, en partie � cause de l'int�r�t et des �motions que ce sport g�n�re. M�me ceux qui ne
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sont pas de v�ritables fans de sumo, quand ils regardent un combat, vous pouvez voir la tension monter chez eux en fonction des �v�nements du combat, impressionn�s par la vitesse et la puissance g�n�r�es par les lutteurs, sans parler de leur simple gabarit. Le sumo est marquant. Et de fait, nous passons une heure ou presque devant un sport �trange et excitant en cette apr�s-midi. C'est vraiment sympa.
Une autre occasion, je passe Thanksgiving chez mes parents avec celle qui doit bient�t devenir ma petite amie japonaise, et nous finissons par nous retrouver avec du sumo sur la t�l�vision devant laquelle nous nous trouvons. C'est assez sympa d'avoir quelque chose de japonais qui appara�t alors que je passe la journ�e avec elle. Avec le recul, ce devait �tre la dixi�me journ�e de l'Aki basho 1999. Son nom est Sato, et nous avons une petite pointe de
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