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Nagoya s'approche – et s'en prend une ou deux dans les gencives
par Eric Blair
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dans le Nagoya basho qui en fait pour moi le point noir de l'année de sumo. C'est peut-être la chaleur, et le fait de savoir que la fraîcheur automnale doit être attendue trois bons mois. C'est peut-être mon ADN britannique qui se bat pour ignorer des pores dont j'ignorais tout et qui mènent leur propre bataille pour tenter de respirer, expulsant dans la bataille ce qui doit équivaloir pour chacune à plusieurs litres chaque année de quelque chose que les Japonais embouteillent et vendent comme une boisson gazeuse ! Cela peut-être le manque d'intérêt de cette ville, ou enfin un savant mélange des trois.
Située sur la grande île de Honshu, entre les villes unanimement reconnues de Tokyo et Osaka, pour la plupart des non-Japonais, Nagoya est de nos jours un simple arrêt à oublier sur la ligne Tokaido du shinkansen – un arrêt que je traverse généralement dans les bras de Morphée.
De fait, il y a si peu de raisons de visiter la quatre ou cinquième ville du Japon (les sources divergent) que les deux millions d'habitants environ « n'offrent que peu au voyageur » sans qu'il n'y ait « de raison impérieuse d'y passer plus que quelques heures », selon une édition récente du guide de voyage mondialement réputé Lonely Planet. Et le fait que de
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En février dernier, le numéro 5 de Sumo Fan Magazine avait vu une paire de Kiwis constituée par Howard Gilbert et Dean Gutberlet en découdre dans un débat sur l'opportunité de changer les lieux des honbasho.
Le numéro 6 suivant avait vu Paul Sharp affronter « Kaiopectate » pour discuter de la possibilité de réduire le nombre de tournois.
Ces deux débats mériteraient bien une petite relecture avant d'aller plus loin sur cet article, parce qu'après en avoir terminé avec celui-ci, vous n'aurez que peu de doutes quant à ma propre position au sujet de Nagoya comme destination estivale du sumo.
Je dis : Déménagez ou supprimez ! Déménagez ou supprimez ! Nagoya, je veux dire.
Avec les deux débats conduits sous la merveilleuse houlette de Lon Howard, et comme c'est son intention quand il anime ces échanges, il n'y a pas à la fin de vainqueur proclamé ou même présumé, pas plus d'agressivité entre les adversaires, et ainsi atteint-on – c'est du moins ce
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que nous espérons – le but qui est de permettre aux deux participants ainsi qu'à chaque lecteur de simplement étendre leur champ de compréhension sur le sumo. Les débats de SFM sont simplement un forum ouvert à tous pour exprimer leurs opinions sur un sujet donné qui les intéresse.
Cela dit, résumant les deux concepts débattus dans ces numéros en une prose un peu moins sérieuse, et en tant qu'homme pour qui la chaleur et l'humidité estivale du Japon représentent une bataille annuelle pour la survie, je ne peux qu'avoir de la compassion pour les quelque 700 rikishi qui se trimbalent, en moyenne, 60 kilos ou plus que moi chaque jour que Dieu fait. Je suis admiratif de leurs tentatives pour s'assurer un kachi-koshi au cœur de la fournaise japonaise – Nagoya, terre de purgatoire… le Kansai et les régions environnantes sont bien connues pour les étés étouffants qu'ils engendrent, bien loin d'être des lieux de promenade idéale si vous avez un gabarit au-dessus de la moyenne.
Vous aurez donc à priori remarqué qu'il y a quelque chose
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