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plus en plus de TGV ignorent tout simplement la ville en dit plus que bien des ouvrages. Même Lonely Planet, connu pour sa tendance à parfois en faire trop, n'accorde que 8 pages à l'endroit, trois si l'on tient compte de cartes et indications ! Les autres villes de honbasho recueillent, dans l'ordre, 81 pages (Tokyo), 16 (Osaka) et 11 (Fukuoka).
Pour le sumo, Nagoya mérite le détour et, selon la légende, est sensée être un endroit « connu » pour ses surprises, ce qui veut dire que ses habitants doivent avoir le nez aussi long que le nombre de fois que ce mythe est véhiculé. Car si l'on vérifie avec un peu plus d'attention, il apparaît que la seule raison qui fait que Nagoya est si souvent considérée comme l'endroit où tant échouent envers toute logique est qu'il ne s'y passe absolument rien durant les onze autres mois de l'année. Si l'on met de côté les innombrables restaurants miso dont la ville pullule, Nagoya après le départ des rikishi doit être un endroit gris et sans âme, qu'on y vive ou qu'on la visite. Par conséquent, quand on me parle de « surprise », « inattendu », ou « contre toute attente » - je réponds uso, oui, uso*.
Il est reconnu que la préfecture d'Aichi produit pas mal de rikishi (l'édition 2006 de la Liste des Rikishi de Juryo et
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Makuuchi enregistre Aichi comme n'étant devancée que par Osaka en terme de rikishi dans l'ozumo avec un total de 47. Osaka est le « shushin » de 53 individus, tandis que Tokyo n'arrive qu'en troisième position avec 46 rikishi pour représenter sa population de 12 millions d'habitants.
La chaleur, bien entendu, joue son rôle dans le basho, mais mettre au compte du mercure et de ses folles oscillations tout ce qui peut clocher durant le tournoi annuel, c'est quelque peu déformer la vérité – un peu trop, en fait.
Tiens, regardez les deux seules choses que je considèrerais comme des surprises sur plus de
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trente années à Nagoya :
a. Deux fois seulement au cours de l'ère Heisei (nous sommes actuellement dans la 18ème année de l'ère Heisei) des rikishi qui ne sont pas parvenus au rang d'ozeki ou de yokozuna ont remporté le tournoi (Kotofuji comme M13 et Mitoizumi comme M1). De superbes réussites, mais deux fois en 18 ans ? Pas franchement un événement courant.
b. Le yusho de juillet 1972 remporté par l'ancien sekiwake Takamiyama (avec un score de 13-2) fit le lui le premier non-Japonais à s'adjuger la Coupe de l'Empereur, mais
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