Sumo Quiz The Quizmaster Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke. |
même si la performance est impressionnante pour un maegashira (à ce point du récit les Nagoyans s'arrêtent de lire, crient à la « surprise » trois fois de suite et déclarent « ne sommes nous pas uniques ? »), le basho se fit sans un yokozuna présent et vit les trois ozeki réunis finir sur un piètre score cumulé de 19 victoires, 15 défaites et 11 absences. Même les sekiwake et komusubi furent médiocres, trois de ces sept lutteurs ne parvenant pas à décrocher un kachi-koshi. De fait également, vingt ans plus tard, en 1992, le banzuke publié pour le Nagoya basho fut emmené par les seuls ozeki, étant complètement dépourvu de yokozuna pour la première fois depuis les années 30, mais Baruto a récemment décroché un 15-0 en juryo et on entend peu de monde qualifier Osaka d'oasis pour les surprises – Si ? Oh ! Y a des habitants d'Osaka dans le coin ? Bon, Lonely Planet ne leur a donné que 16 pages pour faire grandir la fameuse querelle du Kansai j'imagine ? Je m'occuperai d'eux dans un prochain numéro. Ajoutez aux exemples très limités que l'on trouvera en dessous le fait que quelqu'un à un moment ou à un autre sur la NHK (version anglaise et/ou japonaise) vomira à nouveau ces |
vieilles rengaines de Nagoya qu'un David Letterman pourrait bien un jour choisir de réduire à un Top 10 : a. la chaleur, b. Kitanofuji apparaissant dans un yukata de style très nippon (par opposition à un yukata de style très britannique, je présume) pendant au moins deux des quinze journées, c. Kitanofuji particulièrement coquet dans ce même yukata, d. encore la chaleur, e. Toyozakura en sudation permanente, f. Son frère, Kitazakura, selon Olympic Ojisan et son éventail (Photo de Barbara Ann Klein)
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toute apparence frappé du même mal, g. Je vous ai parlé de la chaleur ? h. Les éventails donnés aux fans venus voir la Xième journée, i. Olympique Ojisan et son assez célèbre, mais pas élégant, éventail, j. Peut-être encore une fois la chaleur, k. Encore Toyozakura, plus de choses sur la chaleur, encore les frères Zakura et leur profusion de sueur, des fans qui s'éventent, répétez encore et vous avez le tableau, et vous voyez comme je suis déprimé à mesure qu'apparaît l'abîme annuel du sumo, à Nagoya. Au fait, n'était-ce pas une foutue longue phrase ? Si ce n'est pas l'effet surprise, c'est le facteur chaleur. La sueur (Toyozakura) ou le style (Kitanofuji) avec quelques réparties bien senties sur les fans et vous avez tout Nagoya. Nagoya est des plus prévisibles. Rien d'autre à dire. On n'aura même pas droit à une pause dans la banalité quand les équipes dépourvues Suite |
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