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supplémentaire. Il est difficile de voir précisément tout ce qui se passe, mais avant que j'ai pu comprendre ce qui s'est passé, la section centrale de la tsuna et achevée, et se trouve désormais tout contre le teppo. Trois longues bandes de tissu plus fines sont alors enroulées individuellement et serrées fortement, un rikishi tenant chacune d'entre elles. Après l'achèvement de l'opération jusqu'à pratiquement l'extrémité de chaque bande, le juryo sekitori Oga et le rikishi de makushita Asahimaru vont s'asseoir sur un tatami placé sur la toile, Oga reposant ses pieds sur les épaules d'Asahimaru. Ces deux lutteurs guident alors le tressage de la tsuna de l'arrière, le reste des lutteurs demeurant en deux lignes parallèles pour porter les bandes enroulées, afin de donner à l'ensemble sa forme de corde.
A chaque fois que j'assiste à la cérémonie, c'est Jinmaku oyakata de la Hakkaku – étonnamment mince, mais le teint incroyablement cireux – qui mène l'action d'un sonore « hi, hu mei », les rikishi répondant avec des « soo, ichi, ni, san ! », chacun des chants signifiant un, deux, trois. Dans les temps anciens, on trouvait un tambour taiko qui accompagnait la psalmodie, mais bien qu'on puisse voir encore un tambour au coin de l'aire d'observation de la heya, il
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n'est pas employé lors des cérémonies auxquelles j'assiste. A mesure que le tressage de la tsuna approche de la fin des bandes de tissu, celles ci sont enroulées de plus en plus serrées, et les chants « hi, hu, mei » s'accélèrent jusqu'à l'achèvement du processus. La partie achevée est confiée à un autre rikishi proche du teppo, et l'opération comme les chants reprennent sur l'autre partie de la tsuna après que Jinmaku oyakata et le sandanme Kumago aient rapidement enroulé les trois bandes. De temps à autres, durant le processus, des morceaux de coton sont découpés de la tsuna quand la partie de corde se doit d'être un peu plus fine.
Quand l'ensemble du tressage est achevé, les rikishi soulèvent la tsuna entière d'un bout à l'autre tandis que Jinmaku et deux autres oyakata vérifient le bon équilibre de l'épaisseur de la tsuna. A l'occasion, un rikishi peut se voir demander de tirer encore un peu dessus (pour égaliser les parties, je suppose).
Puis le moment que tout le monde attendait arrive, et Asashoryu fait son entrée pour venir se placer au centre du dohyo. Après que la tsuna est placée autour de sa taille (au- dessus de son kesho mawashi, bien entendu), il se penche sur son tsukebito, Minanosato, tenant en équilibre sur les épaules du jeune rikishi tandis
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que les autres hommes tournent autour pour bien placer la tsuna autour du torse du yokozuna. Après l'ajustement, Minanosato place la tsuna dans un drap de coton blanc et l'emporte en dehors du dohyo.
Il existe deux manières de nouer la tsuna dans le dos – l'une est le style Shiranui, qui comporte deux boucles (et malheureusement, semble être affecté d'une malédiction) et l'autre le très populaire style Unryu avec une boucle unique. Ce dernier est adopté par Asashoryu.
La tsuna avec les cinq gohei de papier attachées
Au cas où vous vous demanderiez ce qu'il advient de morceaux qui en sont découpés (vous pouvez les apercevoir dans la section photos), ils sont remis comme porte-bonheur à des amis ou des fans. Si vous avez d'autres questions, envoyez les tout simplement à editor@ sumofanmag.com. J'ai laissé de côté une bonne partie des détails, mais les photos sont suffisamment parlantes.
Ben voilà. Aux photos maintenant !
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