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bras droit pour exécuter des projections en uwatenage. Quand il sentait que son adversaire pouvait être trop gênant pour un sumo en yotsu, il se servait alors tout simplement de ses féroces tsuppari (poussées paume ouverte) pour l'expulser du dohyo. Kitanoumi avait autant de fans qui l'adoraient pour son sumo dynamique que de détracteurs qui le détestaient pour ses manières rustres après ses victoires. Il expliqua une fois que la raison pour laquelle il ne voulait pas tendre le bras à son adversaire défait pour l'aider à se relever était qu'il se serait senti totalement humilié si lui-même avait été dans cette position.
Cependant, personne ne peut considérer les records qu'il a établis en carrière comme autre chose que des exploits – 24 yusho, une série de 50 victoires consécutive en makuuchi, 37 basho d'affilée à 10 victoires et plus, et 82 victoires en une seule et même année, ce dernier record ayant été battu en 2005 par Asashoryu.
Kitanoumi a donné quelques combats légendaires, certains gagnés, d'autres perdus. Kitanoumi et le yokozuna Wajima se livraient bien souvent de féroces batailles qui généraient toujours beaucoup d'attente et d'excitation. Kitanoumi n'avait que bien peu
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d'adversaires contre lesquels il présentait une fiche négative, mais il n'arriva jamais à trouver la clé face à Wajima, contre lequel il perdit cinq fois de rang quand il était ozeki puis yokozuna. Un combat mémorable intervint lors du senshuraku du basho de mars 1977. Kitanoumi avait déjà le yusho en poche, mais il jouait le zensho quand il monta face à Wajima. Kitanoumi put placer son hidari-yotsu favori et tenta un uwatenage, mais Wajima resta debout, et les deux rikishi finirent par revenir au centre du dohyo et finirent par s'arrêter de bouger. Il y eut un mizu-iri (petite pause), puis une lutte féroce reprit, mais Wajima finit par être à bout de force et Kitanoumi le souleva de terre et l'emporta sur un tsuridashi. C'était son huitième yusho.
En 1980, un nouveau rival, star également, fit son arrivée sur le dohyo pour s'opposer à Kitanoumi. Le yokozuna Chiyonofuji sonna le tocsin pour Kitanoumi en se défaisant de lui lors du kettei-sen du basho de janvier 1980. Kitanoumi commença à accumuler les blessures et à manquer pas mal de basho. Au basho de janvier 1985, quand la Kyokai inaugura le nouveau Kokugikan à Ryogoku, on lui demanda sa participation en tant que yokozuna en place, bien qu'il souffrit de blessures. Il débuta le basho en perdant face au
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komusubi Asahifuji (qui deviendra plus tard le 63ème yokozuna et est l'actuel Ajigawa oyakata) lors du shonichi, puis face au maegashira 1 est Tagaryu (qui atteindra le rang de sekiwake et est aujourd'hui Kagamiyama oyakata). Après ce combat, Kitanoumi annonça qu'il avait le sentiment d'avoir atteint ses limites physiques et qu'il ne pouvait continuer plus longtemps. Cela faisait dix ans et quatre mois qu'il était yokozuna. La flamme passait à la nouvelle génération. Le yokozuna Chiyonofuji remporta ses quinze combats lors de ce basho et s'adjugea le yusho, son onzième alors.
Tableau 10 – Promotions les plus précoces comme yokozuna
| Yokozuna | Age |
1. | Kitanoumi | 21 ans 2 mois |
2. | Takanohana | 22 ans 3 mois |
3. | Asashoryu | 22 ans 4 mois |
4. | Futahaguro | 22 ans 11 mois |
5. | Akebono | 23 ans 8 mois |
Comme mentionné précédemment, Kitanoumi rejoignit l'ozumo avant d'avoir fini le collège, et il eut donc un départ plus rapide que les autres membres de cette liste.
Le 65ème yokozuna Takanohana (1972 - ) hérita du shikona de son père. Quand il
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