SFM’s historian, JK, wraps his two-part article on the greatest of the tsuna wearers
What exactly is it and furthermore, what does it do? The ISF explain themselves and their purpose in existing
Man or myth? Sumo's first yokozuna comes under the spotlight
Tokitsukaze-beya and its famous find themselves the target of Barbara's peek into life inside the heya
Featuring interviews with amateur sumo's European Sumo Union General Secretary and the President of the newly founded Irish Sumo Federation
Would chanko exist without sumo? What is chanko anyway? Find out in Sumo 101
Basho through the eyes of the fans in the seats as SFM gives the mantle of photographer(s) for this basho to Barbara & Gerald Patten. And don't miss our all-Mongolian Bonanza supplied by our Editor, Barbara Ann Klein
Lon gives us his Haru Basho summary, along with the henka sightings results
Mikko Mattila covers the lower division goings on like nobody else around
Mark Buckton glances back to look forward in his ones to look out for come May
Our man Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
Our gaming thread takes a break for April so we can look at the Spanish language book on the sport not long since released
Todd’s bimonthly focus on 3 of the WWW's best sumo sites today
April's man VS monkey debate covers the issue of reducing the number of honbasho
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made you a sumo fan? Thierry Perran lets us in on his reasons for loving this sport
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s’adjuger un yusho. Presque personne n’aurait pu prévoir qu’en division sandanme, le yusho serait emporté par un représentant de cette espèce rare des rikishi de plus de deux quintaux. Maeta, 23 ans (dont les dernières statistiques de poids suggèrent qu’il est maintenant passé en dessous de la barre des 200 kilos) avait eu quelques médiocres 4-3 en sandanme avant d’exploser soudainement en établissant un 7-0 convaincant, yusho en poche. Le Géorgien Tsukasaumi n’a pas trop de difficultés à évoluer en division sandanme et dispose de tous ses adversaires avant de rencontrer Maeta dans un combat décisif pour le yusho. Maeta anéantit Tsukausaumi dans cette rencontre sur un rare kimetaoshi (dans cette technique, l’attaquant force son adversaire à tomber sur les genoux en enserrant les bras de son adversaire et en pesant du haut vers le bas de tout son poids). Comme c’est bien souvent le cas, un grand nombre de rikishi ont enregistré un score de 6-1. Pratiquement chacun d’entre eux, à l’exception de Tsukasaumi, sont des rikishi qui naviguent entre la makushita et la sandanme depuis quelques basho déjà. Un espoir athlétique, toutefois, est Ikioi, qui rebondit d’un Hatsu en demi-teinte pour un bon 5-2 comme Sd21. Curieusement, toutes ses victoires ont été obtenues sur des techniques de projection (kotenage,
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shitatenage, uwatenage). Le rikishi de la Kokonoe-beya, Chiyonishiki, ralentit, division après division, dans son voyage de retour, et finit avec un 5-2 comme Sd61. Le Hongrois
Masutoo, après un désastreux Hatsu basho fini sur un score de 0-7 du à une cheville fragilisée, apparaît en meilleure forme cette fois en réussissant un respectable 5-2.
Masutoo
Le vainqueur du jonidan yusho, Yuminosato, a un départ poussif et perd ses deux premiers combats, mais réussit à suffisamment récupérer pour enregistrer un kachi-koshi de 4-3 comme Sd17.
Une fois encore, la division makushita nous offre un vainqueur surprise, avec des jeunes loups haut classés et des rikishi tout juste relégués de juryo qui se neutralisent, permettant des rikishi du bas de la makushita de sortir subrepticement de l’ombre pour
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aller conquérir le yusho. Kotoyukata, 24 ans, rikishi de la Sadogatake-beya, est pratiquement un inconnu, mais
il remporte le yusho en se défaisant de tous les rikishi invaincus du fond de la makushita, l’un après l’autre. Quatre rikishi à 6-1 enregistrent leur seule défaite face à Kotoyukata. Parmi eux, Surugatsukasa, un lourd rikishi de makushita qui s’est fait une place dans cette division ; Kadomoto, un formidable espoir, d’ores et déjà à même de combattre dans le haut de la makushita ; Nakanishi, qui était très dominateur au début de sa carrière, essuya un hiatus assez bizarre, amis est désormais de retour dans une voie plus prometteuse avec un début encourageant comme Ms54 dans cette division ; et Yakigaya, 24 ans, Ms43, de l’Onomatsu-beya.
Dewaotori s’assure sa promotion en juryo avec le score minimum de 4-3 comme Ms1. Il aura pris un peu plus longtemps que prévu pour atteindre les rangs des sekitori, mais il n’a que 20 ans et il est bourré de talent. Travailler son tachiai et l’explosivité en général doit être sa priorité désormais, car il apparaît qu’il a des soucis face à des rikishi développant de puissantes charges en oshi-zumo quand il perd le
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