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Man or myth? Sumo's first yokozuna comes under the spotlight
Tokitsukaze-beya and its famous find themselves the target of Barbara's peek into life inside the heya
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Would chanko exist without sumo? What is chanko anyway? Find out in Sumo 101
Basho through the eyes of the fans in the seats as SFM gives the mantle of photographer(s) for this basho to Barbara & Gerald Patten. And don't miss our all-Mongolian Bonanza supplied by our Editor, Barbara Ann Klein
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Mark Buckton glances back to look forward in his ones to look out for come May
Our man Mikko takes us on a tour of his chosen kimarite
Our gaming thread takes a break for April so we can look at the Spanish language book on the sport not long since released
Todd’s bimonthly focus on 3 of the WWW's best sumo sites today
April's man VS monkey debate covers the issue of reducing the number of honbasho
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made you a sumo fan? Thierry Perran lets us in on his reasons for loving this sport
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similaire, ça m'a rendue toute chose. Ah, on était bien…
Le keiko en lui-même n'était pas très intense. Il y avait des combats en tête-à-tête, mais pour la majeure partie, les rikishi de rang inférieur pratiquaient des exercices en solo. Les sekitori étaient surtout là à regarder, à part Tokitsuumi, que l'on voyait faire beaucoup d'étirements sur le côté de l'aire des spectateurs. Par rapport à une visite précédente, nous avions l'impression qu'ils faisaient leur keiko avant ou après le départ des visiteurs. Après quelques photos, nous quittions les lieux quand on nous indiquait du geste que le keiko était fini. Pas de prières aux dieux, pas de nettoyage de l'aire de combat ni de préparatifs pour la séance suivante. Rien. Mais nous étions heureux de voir tout ce que nous pouvions.
Et puis le Rijicho prit sa retraite en août 2002.
Le mois de mai suivant, nous sommes revenus à nos habituelles « heya préférées pour le keiko », la Tokitsukaze comprise. Cette fois-ci, il y a un écriteau à la porte indiquant « sonnez si vous venez voir le keiko ». Nous le faisons, et Meike, dans son japonais le plus poli et déferrent, demande si nous pouvons assister au keiko. « pas de keiko maintenant », nous répond-on. OK. Nous ravalons notre déception et allons voir une autre heya. J'imagine qu'il nous aurait fallu téléphoner et prendre un rendez-vous, ce que nous pensions faire la prochaine fois. Au lieu de ça, nous avons vu un peu plus tard Tokitenku au Kokugikan, et lui avons
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demandé si nous pouvions venir voir le keiko le lendemain. Il nous dit oui. Et nous nous sommes dit « OUI ! ».
Le lendemain, nous ignorons l'écriteau et entrons immédiatement. Un ou deux rikishi sont présents, mais pas de sekitori. Un lutteur nous fait signe de prendre des zabuton, ce que nous faisons avant de nous asseoir, raides et dignes, seuls spectateurs de la salle. Finalement, Shimotori fait son entrée, puis Tokitsuumi et Tokitenku, si je me souviens bien. Ils restent là à discuter entre eux, puis l'un retourne derrière le noren, puis un autre. Une nouvelle fois, quelques lutteurs de rang inférieur pratiquent quelques exercices, quelques tête-à-tête, et restent pas mal sur place à discuter. Tokitsuumi revient et fait quelques étirements contre le mur. Puis il disparaît. Nous entendons pas mal de conversations et de rires à l'arrière mais, maintenant que j'y repense, bizarrement on ne sent pas d'odeur de chanko dans l'air comme c'est le cas dans chacune des heya que nous avons visitées. Finalement, l'un des garçons vient nous annoncer que le keiko est fini, et nous quittons donc les lieux assez perplexes, non sans avoir pris quelques clichés de Tokitenku et de Shimotori. La même chose se produira les deux ou trois fois suivantes où nous reviendrons à la Tokitsukaze-beya, mais le meilleur est encore à venir.
En mai, l'an dernier, nous sommes allés à la Tokitsukaze – souvenez-vous, nous allons TOUJOURS à la Tokitsukaze. On arrive, s'assied sur des zabuton, prend quelques photos, regardons Takahashi
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s'entraîner un peu. Nous regardons les moins gradés faire seuls leurs exercices, regardons les sekitori qui regardent les inférieurs. Regardons les rikishi aller derrière le noren, puis un ou deux d'entre eux revenir. Puis repartir. Puis nous contemplons un dohyo vide. Personne ne nous a indiqué que le keiko est fini, et donc nous n'osons pas être malpolis et partir comme cela. Nous restons assis seuls durant vingt minutes, avant de finir par nous en aller.
En général, les rikishi restent un peu à l'extérieur de la heya après la fin de l'entraînement. Je ne me souviens pas d'aucune autre où ça n'ait pas été le cas. Certes les sekitori ne restent pas tous très longtemps, mais c'est souvent le cas d'un certain nombre de minarai. Sauf à la Tokitsukaze. Je crois que nous n'avons aperçu un rikishi en dehors qu'à une ou deux occasions. La première fois, nous avons vu un jeune rikishi en train de boire du thé vert – Tsuchihashi – et avons pris une photo en sa compagnie. Et je crois que nous n'avons pu le faire que parce que la grande porte de l'arrière était ouverte. Après que le nouvel oyakata a pris les commandes, cette porte a été close, et donc même si nous apercevons quelqu'un, tenter de lui parler nous rappelle la cage d'un zoo.
Nous reviendrons en mai. Souvenez-vous, nous allons TOUJOURS à la Tokitsukaze. En attendant, appréciez les photos qui accompagnent cet article, et qui ont été prises tout au long de ces années.
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