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Sumo Souvenirs par Mark Buckton |
dessins faits main ou des statues de sekitori
tandis que d’autres vendent absolument tout de la tegata de base
imprimée des grands sekitori au prix raisonnable de 320 yens
l’unité jusqu’aux chocolats en forme de gumbai ! Kisenosato - faites main Serviettes, éventails, poupées de sekitori et même cendriers – aux motifs bien différents – forment un petit échantillon de ce que l’on peut trouver dans le plus grand stade de sumo, tandis que dans les rues alentours, du vin sumo, des canettes de bière ou de saké peuvent être trouvées pour des prix à peu près dans la moyenne. La fameuse boutiques d’articles sur le sumo et de babioles de l’ère Edo, Takahashi, sur le chemin de Kinshicho, de même que la magasin assez récent situé dans le bâtiment de la gare de Ryogoku, qui vendent à peu près tout ce que vous ,pouvez trouver dans le stade durant un honbasho, remplissent leur rôle et comblent le vide durant les mois sans tournoi, mais le cœur des boutiques de souvenirs peut être Suite |
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Un
dictionnaire pourrait définir un souvenir comme « le moyen
de se remémorer un endroit, un moment, etc. » Que ceci soit une description qui convienne à la majorité des avis sur le sujet, le fait est que les souvenirs sont partie intégrante de tout sport/spectacle dans l’ère moderne. Si vous aimez cette forme de théâtre japonais que l’on nomme le kabuki, il n’y a rien de mieux que de mettre la main sur un oshiguma de votre acteur favori – l’impression laissée par le visage de celui-ci quand il presse son maquillage sur un tissu après le spectacle. Si le football est votre passion, alors des maillots, de préférence ayant servi, et signés, sont le top du top. Pour les fans de Britney, ses boucles désormais tombées ou la canette vide de Red Bull qu’elle a bu un jour feront votre bonheur ! Les souvenirs de sumo ne sont pas bien différents dans leur capacité à relier les idoles avec leurs adorateurs, bien que leurs dimensions, formes et formats soient différents, et que si certains les apprécient, d’autres les considèrent comme de la daube. Par conséquent, à notre époque de production de masse où même Hello Kitty se fraie un chemin dans le sumo, où commence-t-on la collection, ou cherche-t-on le meilleur – ce dernier mot s’interprétant comme le moins cher, le plus rare ou original, ou simplement | le plus « dans le vent » - nous en avons tous une idée personnelle. A l’évidence, tout comme avec le foot, le base-ball et autres sports du genre, le sumo a sa Mecque, le Ryogoku Kokugikan. Et de fait, comme c’est le cas pour le stade de Wembley pour les fans du ballon rond, le Yankee stadium pour la petite balle en cuir, il n’y a pas de meilleur endroit pour commencer sa chasse aux souvenirs. Dans la capitale japonaise, Tokyo, c’est sur la rive orientale de la Sumida que les sumoïtes se massent tous les jours de basho, et dans les corridors qui courent le long du stade principal que la majorité trouvera donc satisfaction et accomplissement dans leur quête du souvenir ultime à ramener chez eux. Mais c’est ici que les choses deviennent un peu bizarres. Pour une organisation souvent malmenée ou carrément éreintée pour son enracinement clair dans le passé, la Nihon Sumo Kyokai (NSK) a largement la tête sur les épaules dès lors qu’il s’agit de vendre son image, ou de fourguer ses camelotes si l’on en juge leurs boutiques de souvenirs. Nourriture, boissons, et bien entendu « trucs à emporter » sont rangés dans les rayons des nombreuses échoppes destinées à vendre les dernières marchandises du sumo aux visiteurs on l’espère conquis. Certains se spécialisent dans les objets les plus chers comme des |
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