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rentré aux Etats-Unis, je n'ai aucune idée de ce que peuvent être les articles souvenirs du sumo disponible sur le marché au Japon, mais ce que j'ai personnellement constaté à l'époque était que je ne pouvais trouver des articles sumo estampillés Kyokai uniquement au Kokugikan, et dans deux ou trois magasins du quartier de Ryogoku – et lors du jungyo de Sapporo, j'ai trouvé les meilleurs articles aux musées des yokozuna à Hokkaido : T-shirts, porte-monnaie, pendentifs. Sur un plan plus personnel, j'ai été très déçu par la pauvreté des souvenirs disponibles lors du koen de Las Vegas. J'étais tout à fait prêt à mettre un sacré coup de canif sur mon compte en banque simplement pour quelques bons souvenirs. J'avais en particulier vraiment envie de coussins comme ceux que j'avais achetés à Sapporo en 1999.
La Kyokai connaît-elle les poupées souvenirs ? C'est le genre de chose qui garde le sumo dans la mémoire des fans entre les basho – tout particulièrement les fans occasionnels à qui l'on doit rappeler de temps en temps que le sumo existe toujours.
Les dirigeants du sumo doivent aussi laisser les lutteurs être eux-mêmes s'ils veulent attirer les jeunes fans d'aujourd'hui. Si je me souviens bien, j'ai entendu un jour que la Kyokai avait admonesté Mitoizumi pour ses lancers de sel trop massifs, au prétexte du coût de ce sel. Je
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pose la question suivante à la Kyokai : « Qu'est-ce qui coûte le plus cher : du sel supplémentaire ou des sièges vides ? ». Quand je regarde les vidéos sur le streaming, je sais toujours quand vient l'arrivée de Takamisakari sur la hanamichi rien qu'en entendant les encouragements. Je n'ai pas besoin de regarder le programme pour savoir que son combat va bientôt avoir lieu. Quand il part, la foule l'encourage qu'il ait gagné ou perdu. Qu'on l'aime ou pas, il enthousiasme VRAIMENT les fans dans l'arène par ses combats – et ne serait-il pas encore mieux si cet enthousiasme était déchaîné par un rikishi du sommet comme un ozeki ou un yokozuna ?
Attention, je ne crois pas que chaque rikishi doive adopter les mimiques de Takamisakari ou Mitoizumi – chacun doit développer son style personnel – mais la Kyokai ne devrait au minimum PAS les décourager parce que le sumo est en concurrence avec d'autres sports, tel le base-ball – et plus récemment le football – pour attirer les yens des fans. Qu'on s'en réjouisse ou qu'on s'en lamente, les jeunes fans japonais sont aujourd'hui bien plus attirés par ce qui a l'air amusant que ce qui est enraciné dans de la purification rituelle. Dès lors que le sumo leur aura donné quelque chose qu'ils considèrent comme valant le coup d'œil, ils en viendront ensuite à en apprécier l'histoire,
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le rituel et l'enthousiasme qui accompagnent un bon combat et un bon tournoi et font du sumo ce spectacle si sympa pour nous tous.
MH : Pour faire réussir l'idée d'un nouveau marketing et merchandising dans le sumo, il faut comprendre que les hommes qui dirigent la Nihon Sumo Kyokai n'ont que rarement une expérience ou une éducation dans le monde des affaires. Ils sont tous d'anciens lutteurs, beaucoup d'entre eux ayant abandonné leurs études au lycée pour entrer dans le sumo à l'adolescence. La vie structurée et en vase clos du lutteur de sumo est l'unique chose qu'ils connaissent. Même après leur retrait de la compétition pour devenir entraîneurs, oyakata et officiels au sein de l'Association, ils évoluent toujours dans le même microcosme bien souvent conservateur. Il est illusoire de penser que des changements drastiques puissent venir de l'intérieur. Ils pourraient éventuellement employer un genre de conseil issu d'un groupe de personnes s'y connaissant en relations publiques, marketing, merchandising et publicité. Toutefois, je ne suis pas sûre que la NSK soit vraiment intéressée par un marketing de masse dans leur sport. En tant que fier sport national du pays, ils veulent vraiment remplir les travées, mais je ne crois pas que leur objectif principal soit de dégager d'énormes profits. Je
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