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amies. Nous fûmes invitées à partager le chanko avec lui et avec force blagues et rires, c'était véritablement le paradis ! Nous quittâmes les lieux dans une espèce de brouillard enchanteur, les bras chargés de présents du sekiwake, plein de photos dans nos appareils, et tout simplement flattées qu'il nous ait reconnues et donné l'occasion de partager son repas. Le temps passa et je commençai à aller voir du sumo à chaque occasion. En janvier 2003, j'allai à la Takasago-beya pour assister à l'asageiko en compagnie de l'ex-Robanoumi. A ce moment, Asashoryu était ozeki, et j'étais confondue, à défaut d'être véritablement surprise, par sa rapide ascension à ce rang. Qu'était-il arrivé à ce petit jeune tout maigre, portant un embryon de mage, dont je me souvenais il y a si peu de temps ? Et dire que des oiseaux de mauvais augure affirmaient qu'il n'arriverait jamais à devenir ozeki en raison de son « attitude » et de son manque d'« hinkaku » (abusivement traduit par « dignité »). Eh bien, après le keiko ce jour-là, Asa nous dit à Rob et moi-même que nous devrions rester, et nous restâmes donc plantés là, tandis que les journalistes se précipitaient sur lui pour leur interview. Le futur yokozuna, toutefois, demanda aux journalistes de s'en aller. Il leur dit qu'il avait des invités très spéciaux et qu'il n'avait pas le temps d'accorder d'interview. Ouais, il parlait de Rob et de moi-même ! Nous prîmes le chanko (comme de coutume à la Takasago quand Asashoryu est |
présent), après quoi Robanoumi et moi reçûmes plus de calendriers de sumo que nous ne pouvions en emporter, en sus des exemplaires dédicacés pour nous. Nous passâmes bien d'autres bons moments au sein de la heya et, à l'occasion, Asashoryu (enfin, son chauffeur), nous reconduisais Meiko et moi à notre hôtel, chantant tous ensemble à pleins poumons les tubes de rock qui passaient sur l'autoradio. Il essaya souvent de nous emmener, Katrina et moi-même, visiter la Mongolie. Mais il désire également par-dessus tout visiter New York et nous parle souvent de son désir d'accomplir ce voyage. Il est « amoureux » de la Statue de la Liberté, convaincu qu'elle représente ce qu'il y a de meilleur dans le monde. Dans l'intervalle, il remporta le yusho en janvier 2003, qui lui assurait sa promotion comme yokozuna. Je ne l'oublierai jamais. C'était au jour 14, et Katrina et moi étions présentes au Kokugikan. Nous le vîmes gagner contre je ne sais plus qui, et l'expression sur son visage, comme son émotion palpable furent un souvenir précieux. Qui était cet homme et quelle n'avait pas été ma chance de choisir de le suivre, LUI, parmi tous les rikishi que j'avais pu voir au travers des années ! Maintenant, ma mémoire me joue des tours. Je ne me souviens plus qui – peut-être son frère, lui-même ou sa fiancée du moment – nous invita Katrina et moi pour assister |
dans sa heya à la photo finale de la victoire, avec le poisson. Ce que je sais, c'est que c'est Asashoryu qui nous invita à la réception privée dans un restaurant yakiniku, avec sa famille et ses camarades de heya, cette même nuit glacée du samedi, pour fêter le yusho et la promotion. Et son frère Sumiyabaazar me donna le siège d'honneur, à côté de celui où prendrait place le yokozuna à son arrivée. Contrairement aux rumeurs et écrits à propos de son penchant à la boisson durant les basho, Asashoryu pris bien garde de ne boire qu'une bière ou deux, car il lui restait encore une journée de combat. Mais, comme vous pouvez l'imaginer, il passa une merveilleuse soirée, en bonne compagnie, un délicieux barbecue, et, pour ce qui me concerne, pal mal de sake ! A l'occasion de nos dernières rencontres, Asa me redit une nouvelle fois son désir de venir à New York, mais en juillet 2003, il semblait assez certain que son souhait serait exaucé. Next Home Sumiyabaazar et Asashoryu aux Sri Chinmoy awards à New York |
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