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Yoshikaze, alors Onishi Daishodai, et les favoris de mon amie Meike – Yoshikaze et Futeno. Et puis... il y a le plus grand de mes « fils adoptifs » – Dagvadorj Dolgorsuren. J'ai commencé à suivre le jeune Asashoryu après une session d'asageiko dans l'ancienne Wakamatsu-, désormais Takasago-, beya en 1999. La session fut particulièrement intense, comme elles le sont généralement à la Takasago-beya, avec pas mal de brutalités et de querelles sur l'un des garçons les moins gradés par les plus anciens, et dans le cas d'Asashoryu, pas tous anciens, rikishi. Déconcertée au début par ce traitement pour le moins cruel, j'appris que cette pratique était en fait assez ordinaire dans quelques heya pour « accroître la résistance » (de fait, j'ai pu assister à ce genre de « séance de construction » dans au moins deux autres heya). J'y découvris également plus tard que les rikishi sur le point d'être promus dans la division |
supérieure, à l'exception des sekitori, ou ayant réalisé un kachikochi, sont également sujets à des tourments analogues, comme je pus le voir lors de certains asageiko. Bref, au moment de notre visite (j'y étais avec deux autres membres de la SML), Asashoryu n'en avait pas encore fini avec les brimades, et il avait d'ores et déjà mis les deux dernières divisions derrière lui, et ce fut donc avec un oeil intéressé que nous observâmes l'attitude de ce jeune rikishi à l'entraînement. Souhaitant lier contact avec lui – et faisant de gros efforts pour essayer d'arriver à prononcer son nom correctement – Meike et moi-même l'attendions à chaque journée du basho, et lorsque nous le reconnaissions, ou pensions avoir entendu son nom, on l'accueillait en criant son Le tout jeune Asashoryu |
nom dans une prononciation quelque peu torturée (nous fîmes plus tard de même avec Asasekiryu, mais avec encore moins de succès pour prononcer ne serait-ce que son shikona !). Au cours de mes voyages suivants sur Tokyo pour les basho, en général deux fois par an, je continuai à assister aux asageiko aussi souvent que possible, en particulier à la Wakamatsu/Takasago, pour entrevoir quelques instants Asashoryu et voir comment il s'en sortait durant l'entraînement. Parfois il était présent, parfois non – parfois il nous reconnaissait, parfois non – et lorsqu'il devint komusubi, Meike et moi-même pensâmes presque que nous ne pourrions plus jamais le voir ou lui parler personnellement. Toutefois, nous continuâmes à aller aux asageiko, et un jour – Asashoryu était alors devenu sekiwake – il nous adressa la parole durant l'asageiko. Pas seulement la parole, puisqu'il invita le reste de ses camarades de heya à nous faire la fête, dansant et effectuant d'autres clowneries – à l'évidence pour nous amuser. Mon Dieu, que ce fut dur de garder un minimum de contenance pour respecter l'ambiance attendue d'une session d'asageiko ! Puis, le keiko achevé, il se tourna vers un supporter qui se trouvait également dans le public et lui dit que nous étions de « vieilles » Next Home |
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