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bien entendu, boisson et nourriture pour ceux qui en auraient envie (on peut également trouver les mêmes revendeurs au premier étage, mais les échoppes de souvenirs sont là en nombre limité). Si l'on se promène tout autour, vers la partie du couloir qui se trouve sur la droite quand on pénètre par le hall d'entrée, il est tout à fait possible – probable même – de voir des rikishi de grade varié faire les cent pas ou même en train de voir des membres de leur famille après être sortis de la shitakubeya par les escaliers qui mènent au couloir. Au petit matin, des foules de spectateurs en quête d'un cliché en gros plan de leur lutteur de haut rang favori s'alignent là, appareil photo prêt à jaillir, dans l'attente de leur arrivée – il faut venir tôt si l'on veut pouvoir avoir une place correcte pour ses clichés cela dit. Quand on poursuit son chemin le long du couloir, on peut remarquer – immédiatement derrière le bâtiment, mais tout de même accolé à celui ci – l'Ecole de Sumo et l'aire des dohyo d'entraînement (quand c'est ouvert). On y accède par une volée de marches raides. C'est également là l'endroit qui sert de restaurant de fortune lors des honbasho, puisqu'on peut y acheter des bols de chanko pour 200 yens. Rien de bien folichon à cet endroit, seules les photos d'oyakata sur les murs peuvent intéresser les fans de la première heure, car toutes les photos semblent pour le moins anciennes. |
Le dohyo d'entraînement à l'arrière de l'Ecole de Sumo |
Au bout d'un tour presque complet, après être passé devant de nombreuses boutiques et avoir jeté des coups d'œil à l'intérieur par les portes ouvertes, l'on finit par arriver sur la « chaya street » - l'endroit où les « propriétaires » des sièges du stade, dans les temps anciens, préparaient boissons et en-cas qu'ils allaient servir à leurs clients du jour. C'est là une partie toujours très vivante du Kokugikan, restez-y un moment pour profiter des images et des sons – voire même des odeurs – le tout s'animant de plus en plus tout le long de l'après-midi. Une fois le tour complet effectué, une nouvelle incursion dans le hall d'entrée principal et un regard vers l'escalator emmenant les spectateurs vers le côté ouest du stade (marqué d'un 西) vous fait découvrir une porte plutôt modeste - la porte du Musée du Sumo. L'endroit vaut véritablement le détour. La |
petite salle de musée – une seule pièce – change sa disposition tous les deux mois, mais présente toujours quelque chose d'intéressant même si l'on ne parle pas le japonais. Portraits d'anciennes gloires, objets en rapport avec le sumo datant d'ères révolues de l'histoire du Japon, on peut même y voir des mage ôtés de la tête de leurs propriétaires, bien que tout cela dépende du thème en cours lors de votre visite. Une question ? Demandez au personnel. Ils ne parlent pas très bien l'anglais, mais ils font des efforts et sont toujours extrêmement plaisants avec des visiteurs non éclairés. Malheureusement les photos ne sont pas autorisées, mais il est des choses qui restent gravées dans la mémoire et ne disparaissent pas de sitôt. (NB : toutes les photos de l'intérieur du Musée se trouvant dans Sumo Fan Magazine ont été
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