NHK & the Ozumo English Broadcast Mark Buckton A visit to NHK, years of watching the show and the opinions of our Ed-in-Chief Hanging With the Rikishi Barbara Ann Klein Barbara Ann Klein recounts her experiences with the “boys” in a pictorial diary series
Sumo Exhibit at the Edo-Tokyo Museum Barbara Ann Klein SFM’s Editor takes in the exhibit celebrating 80 years of the Japan Sumo Association at this famous Tokyo museum
Photo Bonanza What a collection – All-Japan Sumo Tournament, Hakkaku- beya visit and sumo exhibits at the Edo-Tokyo Museum Kyushu Basho Review Lon Howard Lon gives us his Kyushu Basho summary, along with the henka sightings results, and his take on the year in brief Lower Division Rikishi Mikko Mattila Mikko Mattila covers lower division ups and downs
Sumo 101 Eric Blair Eric explains all you need to know and then some about the Kokugikan building – the mecca of sumo
Minusha John McTague John’s unique bimonthly view of news from outside the dohyo Online Gaming Eric Blair For the lowdown on Guess the Kotomitsuki – baby of SFM’s John Gunning Kokugi Connections Todd Lambert Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
SFM Cartoons Stephen Thompson In the second of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy ST’s offerings Let’s Hear From You What was it that made you a sumo fan? American Todd Defoe tells all Readers’ Letters See what SFM readers had to say since our last issue Sumo Quiz The Quizmaster Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke. |
évidence rassemblées avec amour pour capturer l'essence de l'atmosphère, le dynamisme, la frénésie et les sentiments de la communauté du sumo depuis ses tout débuts sous l'ère Edo. Chacun des objets présents est un enchantement que les simples mots ne peuvent suffire à décrire : des plans illustrés décrivant les lieux du sanctuaire Tomioka Hachimangu (trois arrêts après Ryogoku sur la ligne Oedo), où tous les basho étaient tenus durant près de 150 ans sous l'ère Edo, et le parc Hachiman, où l'on trouve le mémorial à la gloire des yokozuna érigé en 1895 par le douzième yokozuna Jinmaku Kyuguro, aux tabi portées par Raiden et aux photographies du Kokugikan dévasté et de son occupation par l'Armée américaine après la Deuxième Guerre Mondiale. Malheureusement, il n'y a pas de guide en anglais pour les expositions temporaires (ndt : encore moins en français, j'imagine...), je retranscris donc ici trois des récits qui m'ont été fournis par M. le Directeur Tanaka-san après que mon ordinateur m'ait lâché sans que je n'aie pu récupérer mes propres notes de visite : Les premiers yokozuna et le Sanctuaire Tomioka Hachimangu à Fukagawa Le Tomioka Hachimangu de Fukagawa (également connu sous le nom de Fukagawa |
Hachiman) est connu à ce jour comme un sanctuaire qui abritait du kanjin sumo (combats de sumo tenus pour récolter de l'argent pour effectuer des réparations au sein du sanctuaire, etc.). En 1648, le bafuku (shogun) interdit les combats de kanjin sumo, considérant qu'ils poussaient aux bagarres. Toutefois, en 1684, il autorisa des combats de sumo entre des lutteurs ronin professionnels afin de pouvoir établir une claire distinction avec les hors-la-loi et de les conserver sous son contrôle. La popularité du sumo fut sans aucun doute un facteur décisif pour la renaissance de celui-ci et, en 1684, le premier tournoi depuis la renaissance fut tenu à Eitaiji, un temple associé au sanctuaire Tomioka Hachimangu. Par la suite, Tomioka Hachimangu s'épanouit comme l'un des sites de kanjin sumo tout au long de la période Edo. C'est au cours du combat tenu dans cette enceinte en 1789 que Tanikaze Kajinosuke et Onogawa Kisaburo se virent attribuer le titre de yokozuna par Yoshida Zenzaemon, un vassal de la famille Hosokawa, maison des Kumamoto. La famille Yoshida se targuait elle-même d'être la représentante du sumo, et le chef de famille porta durant des générations le nom de « Yoshida Oikaze ». En 1900, le yokozuna Jinmaku Hisagoro, lors de sa retraite, fit ériger un monument pour les yokozuna sur ce site, sur lequel les noms des yokozuna furent inscrits. De nos |
jours, un nouveau yokozuna inscrit son nom sur ce monument avant sa première entrée sur le dohyo. A cet égard, les yokozuna et Tomioka Hachimangu ont toujours été étroitement liés. L'Eko-in et le Grand Tournoi de Sumo Le Grand Tournoi de Sumo à l'Eko-in fut tenu pour la première fois en 1768, mais c'est entre 1781 et 1789 que l'Eko-in devint un centre névralgique pour les tournois. Avec le développement des rues principales sur les rives est et ouest du pont de Ryogoku et des rues jouxtant l'Eko-in, Ryogoku devint le principal quartier de plaisirs d'Edo, et les combats de sumo eux aussi finirent par se tenir à l'Eko-in. A partir de 1833, les tournois de sumo y furent régulièrement tenus, et l'on pouvait voir les programmes et descriptifs des tournois de printemps et d'hiver tenus à l'Eko-in de Ryogoku dans le Toto saijiki (Glossaire des termes saisonniers dans la Chronique de la Capitale de l'Est) par Saito Gesshin, en 1838. Ryogoku poursuivit sa croissance en tant que ville du sumo même après le retour des Meiji, et en juin 1909, l'ancien Ryogoku Kokugikan (Stade Sportif National) fut inauguré. Pendant un certain temps après la guerre, les tournois quittèrent Ryogoku pour le Kuramae Next Home |
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