NHK & the Ozumo English Broadcast Mark Buckton A visit to NHK, years of watching the show and the opinions of our Ed-in-Chief Hanging With the Rikishi Barbara Ann Klein Barbara Ann Klein recounts her experiences with the “boys” in a pictorial diary series
Sumo Exhibit at the Edo-Tokyo Museum Barbara Ann Klein SFM’s Editor takes in the exhibit celebrating 80 years of the Japan Sumo Association at this famous Tokyo museum
Photo Bonanza What a collection – All-Japan Sumo Tournament, Hakkaku- beya visit and sumo exhibits at the Edo-Tokyo Museum Kyushu Basho Review Lon Howard Lon gives us his Kyushu Basho summary, along with the henka sightings results, and his take on the year in brief Lower Division Rikishi Mikko Mattila Mikko Mattila covers lower division ups and downs
Sumo 101 Eric Blair Eric explains all you need to know and then some about the Kokugikan building – the mecca of sumo
Minusha John McTague John’s unique bimonthly view of news from outside the dohyo Online Gaming Eric Blair For the lowdown on Guess the Kotomitsuki – baby of SFM’s John Gunning Kokugi Connections Todd Lambert Todd’s bimonthly focus on 3 of the most interesting sumo sites today
SFM Cartoons Stephen Thompson In the second of our cartoon bonanzas, sit back and enjoy ST’s offerings Let’s Hear From You What was it that made you a sumo fan? American Todd Defoe tells all Readers’ Letters See what SFM readers had to say since our last issue Sumo Quiz The Quizmaster Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke. |
Au milieu des rikishi : Petit journal illustré |
Minaminoshima durables avec des rikishi venus de la planète entière et arrivés dans ce monde si différent dans sa culture, ayant laissé loin derrière eux leurs familles et amis. Oga en yumitori La plupart de mes « adoptés » sont restés au sein des divisions inférieures non salariées. Prenez par exemple Minaminoshima, le Tongien de la Musashigawa-beya, ou Seiryu et Yuki, deux sandanme de la Next Home |
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Je suis la femme la plus chanceuse du sumo. Je ne travaille pas à la télévision, je ne parle pas le japonais (ou si peu), je ne suis pas artiste ni historienne et je ne vis pas au Japon, ni n'y possède une résidence secondaire – pas encore ! – mais j'ai l'immense privilège de connaître un tas de rikishi, des jonokuchi jusqu'au yokozuna en personne. Voyez un peu : depuis mon premier basho vu en 1998 jusqu'à ma présence au moins un jour (au Kyushu) à tous les basho de l'année écoulée, je suis maintenant appelée par mon nom par beaucoup de ces jonokuchi, ou au moins, cette fois, jonidan, jusqu'au yokozuna, de même que par les gyoji, tokoyama (coiffeurs), oyakata et okamisan. J'ai eu l'insigne honneur d'assister à des mariages, des retraites et d'innombrables sauteries du senshuraku, et de partager le chanko avec tant d'entre eux. J'ai également forgé de merveilleuses amitiés, ce qui est sans doute ce pour quoi je suis la plus « chanceuse ». Mais je m'éloigne du sujet. Cet article traite d'immersion avec les rikishi, ce qui bien entendu |
inclut de lâcher des noms. Pour ceux qui sont enclins à me critiquer pour cela, désolé, je vous devance, c'est exactement ce que je vais faire ! j'ai entamé pas mal de mes relations avec les « garçons », comme je les appelle, par des présentations, une observation en personne lors de l'asageiko (entraînement matinal), ou simplement en démarrant une conversation banale avec un rikishi lors d'un événement de Yuki, Onoshima (retraité), Takashoma et Hokutosho sumo. A l'approche de Noël, il y a sept ans, Kattrina Watts fit remarquer sur la sumo mailing list qu'il serait sympathique d'envoyer des vœux aux rikishi étrangers qui sont loin de leur terres natales et susceptibles de souffrir du mal du pays lors de ces fêtes. Suivre ce conseil initia également quelques relations |
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