Amateur Sumo – the sport as it should be
Mark Buckton
Sakai World Sumo Champs – not all about winning

Las Vegas Koen
Joe Kuroda
Our man reports from the fight capital of the world

Rikishi of Old
Joe Kuroda
A look at a rikishi of yesterday with Kotozakura – our man for October

Heya Peek
John Gunning
John’s early morning dash to Azumazeki-beya & report on TKOTU

SFM Interview
Katrina Watts sits down with SFM’s Mark Buckton to discuss amateur sumo

Photo Bonanza
SFM’s best yet – Aki Basho/ Las Vegas / Amateur World Champs / Azumazeki-beya visit – seen nowhere else

Aki Basho Review
Lon Howard
Lon gives us his Aki Basho summary, along with the henka sightings results, and his take on the tournament while ‘gem’ of the basho takes a break

Lower Division Rikishi
Mikko Mattila
Mikko Mattila returns to cover lower division ups and downs

Kyushu Basho Forecast
Pierre Wohlleben & Mark Buckton
Pierre predicts the Kyushu Basho banzuke while Mark previews the ones to watch next time out

Sumo 101
Barbara Ann Klein
Discovers and explains amasumo & ozumo variations

Kimarite Focus
Mikko Mattila
Mikko once again walks us through his chosen kimarite

Minusha
John McTague
John’s unique bimonthly view of news from outside the dohyo

Online Gaming
Zenjimoto of ‘game fame’ covers some of the very best sumo games around – his own!

Kokugi Connections
Todd Lambert
Todd’s focus on 3 of the most interesting online sumo sites today

Fan Debate
Is the limit on foreign rikishi fair? See what our debaters had to say

SFM Cartoons
Benny Loh
In the first of our cartoon bonanzas, sit back and chuckle at Benny Loh’s offerings

Let’s Hear From You
What was it that made you a sumo fan? Gernobono tells all

Readers’ Letters
See what SFM readers had to say since our last issue

Sumo Quiz
The Quizmaster
Answer the Qs and win yourself next basho’s banzuke.

MB – Vous voyez le sumo comme un candidat sérieux dans de futures Olympiades ?

KW – ABSOLUMENT !! Il avait déjà été décidé, si Osaka avait eu les Jeux de 2008, que le sumo serait un sport en exhibition. Ce n'est qu'une question de temps.

MB – Parlons de la présence des femmes. Qu'est-ce que l'avenir réserve aux femmes sur le dohyo, et avez vous vous-même jamais combattu dans une compétition féminine ?

KW – Le sumo est un sport très adapté aux femmes. C'est un sport de combat sans être violent. Il requiert de l'équilibre, de la souplesse, et de la stratégie, tout comme de la force physique, donc les femmes peuvent aussi y exceller. Si je ne m'étais pas blessé au genou dans un accident de ski, j'aurais bien aimé m'essayer au sumo moi-même. Cette année, aux Championnats féminins du Japon, mon héroïne, Mme Saito, s'est classée troisième en division open. Elle a 55 ans !

MB – Comme présentatrice, quel est votre souvenir le plus amusant du sumo amateur ?

KW – Eh bien, le travail de présentatrice est plutôt sérieux, et les moments embarrassants
sont bien plus nombreux que les moments drôles, mais c'est sans doute la prononciation de divers noms étrangers qui a pu se révéler cocasse. En particulier, les noms Thaï, Russes et Mongols sont parfois ardus. Je me suis mise au Russe après que l'entraîneur de l'équipe russe soit venu frapper sur ma table de commentatrice en criant " je vous ai dit trois fois comment prononcer ce nom et vous ne l'avez pas dit correctement ! ". Je me suis dit qu'en étudiant un tant soit peu la langue, je pourrais sans doute mieux trouver les bonnes intonations. Ca paraissait une bonne idée à l'époque, mais maintenant, je suis obligée mon russe catastrophique pour faire de l'interprétariat au profit des lutteurs, ce qui donne des situations encore plus cocasses.

MB – Et le pire moment ?

KW – Sans doute les Championnats du Monde de Riesa, en Allemagne, en 2004. il y avait deux présentateurs en langue allemande, mais il n'y avait que moi pour l'anglais. Le programme s'est éternisé, et il n'y avait pas de pauses. Les Allemands pouvaient se relayer, mais sans moi pour la partie anglaise, tout s'arrêtait. Ce qui veut dire que j'ai du être présente de 11h30 à 23h00, sans pause, ni même le temps
d'aller rejoindre les (très éloignées) toilettes. Pas une expérience des plus réjouissantes.

MB – Y a-t-il des nations non-japonaises en particulier que vous voyez bien fournir des rikishi au monde professionnel dans les années à venir ?

KW – C'est une question difficile. Un bon rikishi peut venir de n'importe où. A l'heure actuelle, les Européens dominent le monde amateur, mais les Mongols, avec leur longue tradition de sumo Mongol, seront toujours une grande source de rikishi. Mais vraiment, si quelqu'un désire par-dessus tout devenir un rikishi, la nationalité importe peu.

MB – Et les compétiteurs de ces Championnats ?

KW – Actuellement, avec la règle d'un étranger unique par heya, il n'y a pas de place pour de nouveaux étrangers dans le sumo professionnel, et il va sans doute nous falloir nous tourner dans les prochaines années vers les juniors pour trouver les futures stars. Le frère de Kokkai, Georgi, qui a montré sa puissance chez les juniors en août 2004, voulait devenir pro,

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