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mais il lui a fallu attendre jusqu'en septembre 2005 pour trouver sa place au sein de l'Irumagawa-beya.
MB – Etes vous restée proche d'anciens amateurs que vous avez croisés dans les différents tournois avant qu'ils ne deviennent professionnels ? KW – Heureusement, oui. Quand ils arrivent dans le sumo professionnel, ils semblent contents de trouver un visage familier. Je suis heureuse de pouvoir continuer à les encourager et c'est passionnant de suivre leurs carrières. C'est un avantage que de les avoir connus comme amateurs. Par exemple, j'ai fait la connaissance de Kotokikutsugi (ndt : actuellement Kotoshogiku, ![]() |
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M6e de la Sadogatake-beya) alors qu'il combattait chez les juniors, ce qui me donne une bonne appréciation de son talent inné pour le sumo et me laisse espérer qu'il gravisse encore bien des échelons. En outre, certains des rikishi universitaires que j'adorais sont maintenant oyakata. C'est toujours bien de connaître des gens haut placés. (grand sourire) MB – En fin de compte, en tant qu'invitée régulière des émissions bilingues de la NHK sur le sumo professionnel, que pouvez vous nous dire de la différence d'approche que vous pouvez avoir entre ozumo et amasumo ? KW – Ce sont deux activités assez différentes. Dans le sumo ![]() |
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amateur, je suis impliquée dans du travail administratif et je fais les présentations au sein du stade – sans aucun commentaire. En ce qui concerne le sumo professionnel, c'est là l'occasion pour moi de faire partager mes connaissances et mon enthousiasme avec les spectateurs. Ca va sans dire, ce dernier travail est le plus amusant, mais il m'est difficile de dire lequel est le plus important.
MB – Merci Katrina, pour cet entretien agréable et instructif Home ![]() |
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